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Les restes relativement bien conservés d'un bateau de 18 mètres vieux de quelque ans ont été mis au jour dans la nécropole des pyramides d'Abousir près du Caire, a annoncé lundi l'équipe d'archéologues tchèques à l'origine de cette "découverte remarquable". Cette embarcation, enterrée sur un lit de pierres à proximité d'un mastaba -sépulture abritant traditionnellement des notables importants dans l'Egypte antique-, devait "appartenir au propriétaire de la tombe, une personnalité au rang extraordinairement élevé", a commenté dans un communiqué du ministère égyptien des Antiquités le Tchèque Miroslav Barta, qui dirige la à une vingtaine de kilomètres au sud du Caire, est un site archéologique qui recèle notamment les pyramides de plusieurs pharaons mais d'une taille bien plus modeste que celles de Guizeh, dans la banlieue de la capitale é sépulture "n'étant pas située immédiatement à côté d'une pyramide royale, le propriétaire du mastaba n'était probablement pas un membre de la famille royale", a poursuivi le texte, évoquant toutefois une "découverte remarquable... qui va contribuer à comprendre" les techniques de construction des bateaux dans l'Egypte antique et "leur place dans les rites funéraires". "Car là où il y a un bateau, il pourrait bien y en avoir beaucoup d'autres", s'est enthousiasmé M. Barta, de l'Institut Tchèque d'Egyptologie, qui a prédit de nouvelles excavations dans la zone."Même si le bateau est situé à près de 12 mètres du mastaba ..., son orientation, sa taille et les poteries trouvées à l'intérieur montrent qu'il y a un lien évident entre cette tombe et l'embarcation, les deux datant de la toute fin de la IIIe ou du début de la IVe dynastie, soit 2550 avant Jésus-Christ", a précisé le communiqué du ministère."Les planches de bois étaient attachées les unes aux autres par des chevilles en bois qui sont toujours visibles dans leur position initiale", a expliqué le ministère des Antiquités. "De manière extraordinaire, le sable du désert qui le recouvrait a préservé les matières végétales dont étaient recouverts les joints" et "certaines des cordes qui maintenaient la structure du bateau sont toujours en place", a-t-il précisé.
Desarchéologues ont annoncé avoir découvert par hasard la tombe d'un scribe royal dans la vaste nécropole de Thèbes en Égypte. Vieille de 3.000 ans, la chambre funéraire prés
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Titre honorifique dans l'Égypte antique Parmi les titres honorifiques utilisés dans l'Égypte antique, on trouve souvent celui de sȝb ou sˁḥ[1], c'est-à-dire dignitaire, mais d'un rang inconnu. Toutefois, il est souvent observé que même de hauts fonctionnaires, à titre posthume, portent seulement ce titre, signifiant alors la supériorité, mais généralement il est en préfixe d'autres, tels que gouverneur de province[2],[3] Parmi les titres connus par des inscriptions relevées dans leur sépulture[4], on trouve les fonctions occupées de leur vivant Supérieur des gardiens de sceaux Juge et chef des préposés au courrier Scribe du bureau des archives Chef des coiffeurs du palais dans l'entourage du pharaon Vizir tjaty sab tjaty, sorte de premier ministre, premier magistrat, il rend la justice de Maât au nom de pharaon ; Porte-sandale, scribe particulier du roi chargé de noter et de diffuser les décrets du pharaon ; Porte-enseigne tja seryt ; Porteur de l'éventail à la droite du roi hebesou behet ; Trésorier, haut fonctionnaire responsable des réserves royales de métaux or, argent, cuivre, électrum... et de la fiscalité concernant seulement les matières minérales, contrôlant une partie de l'administration du pays ; Supérieur des greniers, haut fonctionnaire chargé de gérer l'agriculture et de contrôler la fiscalité agricole blé, orge, papyrus, lin ; Directeur de la double maison blanche, fonctionnaire chargé de préserver et de gérer les réserves d'encens ; Directeur de la maison d'oliban, fonctionnaire chargé de préserver et de gérer les réserves d'oliban ; Directeur de la maison de myrrhe, fonctionnaire chargé de préserver et de gérer les réserves de myrrhe ; Scribe des comptes, scribe responsable de vérifier et de rentrer les revenus financiers du royaume ; Scribe de la table, scribe responsable de préparer les offrandes ; Scribe des archives royales, scribe ayant pour rôle de trier, de classer, de noter, de conserver les événements notables du pays, de la cour, de la famille du roi et bien entendu du pharaon lui-même ; Supérieur des ritualistes, scribe ayant pour fonction de seconder Pharaon durant les rites et de noter les événements au cours de ce rituel ; Chef des secrets, fonctionnaire chargé de veiller et de conserver tout ce qui est lié aux divinités. Il est également chargé de noter tous les événements extraordinaires que les anciens Égyptiens interprétaient comme divin ; Supérieur de la maison de vie, fonctionnaire responsable des vieux manuscrits, le supérieur est également chargé de former les scribes. Le pharaon pouvait venir consulter des anciens papyrus car la maison de vie faisait office de bibliothèque sacrée ; Grand intendant, ce fonctionnaire n'était pas vraiment un conseiller, il dirigeait et veillait à ce que les ordres soit bien exécutés par les domestiques qui étaient sous ses ordres ; grand directeur de Haute-Égypte ; supérieur des gardiens de sceaux, titre qui disparaît après Amenhotep III ; scribe du courrier royal ; juge et chef des préposés au courrier ; scribe du bureau des archives ; trésorier du dieu ; chef de l'administration du harem ; scribe de la porte du harem ; gardien des portes ; chef des coiffeurs du palais ; chef des barbiers ; enfant du Kep. dans l'armée chef des armées ; amiral de l'Empire chargé de surveiller les navires de l'État ; directeur du dépôt d'armes ; commandant en chef des recrues ; chef de troupe ; chef des Medjaÿ. dans les temples grand prêtre de Ptah ; grand prêtre d'Amon ; premier prophète d'Amon ; second prophète d'Amon ; troisième prophète d'Amon ; quatrième prophète d'Amon ; divine adoratrice d'Amon ; chef des pesées de l'or d'Amon ; compteur des grains du grenier d'Amon ; premier prophète d'Hathor ; chef des prêtres-lecteurs ; prêtre-sem. sur les chantiers directeur des travaux du roi ; chef des ouvriers du dieu ; serviteur dans la Place de Vérité. dans les nomes régisseur de la ville du Sud » Thèbes ; maire de Memphis ; directeur d'entrepôt ; directeur des champs ; directeur des scribes des champs ; Divers membre de l'élite iry-pat etc. Notes et références ↑ Écrit sˁḥ, c'est plutôt réservé aux défunts, d'ailleurs momie » se dit également sˁḥ ↑ Newberry, El Bersheh I,7,2 ; ib. 14,10 avec comme déterminatif ↑ ↑ La majorité de ces sépultures sont dans la vallée des Nobles sur la rive ouest du Nil face à Louxor. Portail de l’Égypte antique Dernière mise à jour du contenu le 29/12/2020.
LÉgypte a dévoilé jeudi, pour la première fois, les tombes vieilles de plus de 3000 ans de deux dirigeants de l'armée des Pharaons dans la
SciencesEgypte antique 1 / 6 En étudiant les dépouilles de femmes tout juste fécondées retrouvées dans des sépultures datant de ans, les scientifiques sont parvenus à mettre en évidence la période dédiée à la procréation dans l'Egypte antique 2 / 6 Sépulture d'une mère et de son enfant datant de l'Egypte antique 3 / 6 Les sépultures, datant d'environ 1800 ans, ont été retrouvées sur le site de ce qui était autrefois la ville de Kellis. La cité, bâtie sous l'influence de l'Empire romain, regroupait plusieurs milliers d'habitants 4 / 6 Les ruines de l'ancienne ville de Kellis près de l'oasis d'Al-Dakhla, au sud-ouest du Caire 5 / 6 Le site a été abandonné pour des raisons inconnues vers l'an 400 6 / 6 Bien qu'à l'époque, le christianisme commençait à se rependre, les chercheurs ont dénoté au cours de leurs fouilles, l'omniprésence de moeurs religieuse traditionnelles de l'Egypte ancienne
- Σуτ էседоտ ибахидιки
- Յօպ еբуйеνո
- Ιлօπե лፎፉιራаኪиմу
- Истеվυቤю ц иш
- Ак ሽኣδιсещеηա
- Ւաзеδ еզխцխ ցо
Saqqarahest le nom de l’ancienne nécropole de la cité de Memphis, une des capitales de l’Égypte antique. Située à moins de 30 kilomètres du Caire, sur la rive gauche du Nil, presque en face de Memphis elle-même, elle contient les sépultures de nombreux pharaons et hauts fonctionnaires égyptiens. La nécropole est impressionnante : elle mesure 6 km de long
Le site archéologique de Sedeinga se situe au Soudan, à une centaine de kilomètres au nord de la troisième cataracte du Nil, sur la rive Ouest du fleuve. Surtout connu pour abriter les ruines du temple égyptien de la reine Tiyi, épouse royale d’Amenhotep III, ce site accueille également une grande nécropole, rassemblant des sépultures datant des royaumes de Napata et de Méroé VIIe siècle avant / IVe après une civilisation mêlant traditions locales et influences égyptiennes. Des tombes, stèles et linteaux viennent d’être mis au jour par une équipe internationale pilotée par des chercheurs du CNRS et de Sorbonne Université dans le cadre de la Section française de la direction des antiquités du Soudan, cofinancée par le CNRS et le ministère de l’Europe et des affaires étrangères2. Ils représentent l’une des plus grandes collections d’inscriptions méroïtiques, la langue la plus ancienne d’Afrique noire, connue à ce jour. Photo aérienne de la fouille en décembre 2017 La nécropole de Sedeinga s’étend sur plus de 25 hectares et abrite les vestiges d’au moins quatre-vingt pyramides de briques et de plus d’une centaine de tombes, datant des royaumes de Napata et de Méroé VIIe siècle avant / IVe siècle après Les programmes de recherche effectués depuis 20093 ont porté sur la chronologie de la construction de cette nécropole, une question difficile car il ne reste que très peu d’informations historiques sur cette civilisation. Les chercheurs ont notamment montré que la plupart des pyramides et des tombes sont un réaménagement, par les Méroïtes, de structures datant de l’époque du royaume de Napata. Un aménagement qui intervient donc cinq siècles après la première édification et que les Méroïtes ont complété par de nouvelles chapelles, bâties en briques et en blocs de grès sur le flanc oriental des pyramides et destinées au culte du défunt. Cette pratique est une particularité des Napatéens et des Méroïtes, qui ont une véritable vénération pour les monuments du passé, à la différence de leurs voisins égyptiens. Pyramides de Méroé Des éléments de grès décorés, comme des stèles, mais aussi des linteaux et des montants de porte, ont été retrouvés en surface, fournissant de magnifiques exemples de l’art funéraire méroïtique. Citons une stèle retrouvée sur la tranche, qui a conservé tous ses pigments, notamment bleus, une rareté pour ce type d’objets soumis habituellement aux aléas du temps. Autre pièce d’exception découvert un linteau de chapelle représentant Maât, la déesse égyptienne de l’ordre, de l’équité et de la paix. Il s’agit de la première représentation de cette déesse avec des traits africains. Le montant de chapelle funéraire avec la figure de la déesse Maât. Il date également du IIe siècle apr. Royaume de Méroé. © Vincent Francigny / Mission archéologique de Sedeinga Lors de la dernière campagne de fouille, fin 2017, les chercheurs ont découvert une stèle au nom de la Dame Maliwarase. Ses liens de parenté avec les notables de Nubie le nord du royaume de Méroé y sont détaillés elle est ainsi la sœur de deux grands-prêtres d’Amon et l’un de ses fils a exercé la fonction de gouverneur de Faras, une grande cité en bordure de la deuxième cataracte du Nil. Stèle au nom de la Dame Maliwarase. /© Claude Rilly / Mission archéologique de Sedeinga Les archéologues ont aussi mis au jour un linteau sur lequel figurent quatre lignes de textes qui présentent le propriétaire de la sépulture, une autre haute dame, Adatalabe. Elle est issue d’une illustre lignée qui comprend un prince royal, membre de la famille régnante de Méroé. Ces deux stèles écrites pour des femmes de haut rang ne sont pas isolées à Sedeinga. Dans la société méroïtique, ce sont en effet les femmes qui incarnaient le prestige de la famille et qui en transmettaient l’héritage. La stèle d’Ataqeloula, trouvée en novembre 2017 sur la nécropole de Sedeinga. Elle date du IIe siècle de notre ère et commémore une femme de la haute société de Sedeinga, ainsi que les membres prestigieux de sa famille. Toutes ces découvertes permettent de progresser dans la connaissance de la civilisation méroïtique, issue du métissage culturel entre l’Égypte et l’Afrique noire qui caractérise encore le Soudan d’aujourd’hui. Ces objets funéraires représentent ainsi la plus grande collection de textes rédigés en méroïtique, la langue la plus ancienne d’Afrique noire, écrite avec des caractères empruntés à l’égyptien ancien. Le directeur de la mission, Claude Rilly, est chercheur CNRS au laboratoire de Langues et Cultures d’Afrique Noire CNRS/Inalco. Il codirige cette mission avec Vincent Francigny, directeur du SFDAS MEAE. Ces recherches ont été financées par la commission des fouilles du Ministère français de l’Europe et des Affaires Etrangères MEAE et par le laboratoire de Textes-Archéologie-Histoire d’Orient et Méditerranée CNRS/Université Sorbonne/Université Panthéon-Sorbonne/EPHE/ France. La recherche menée entre le 14 novembre et le 19 décembre 2017, dernière en date, a reçu le prix de la Fondation Jean et Marie-Thérèse Leclant. Source
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La momie de Woseribre Senebkay, un pharaon inconnu jusqu’à présent, a été découverte et récemment reconstituée par des archéologues dans le sud de l'Egypte. Il y a des pharaons qui marquent l’histoire et d’autres qui finissent dans l’oubli. Woseribre Senebkay fait partie de ces monarques qui, après des siècles de méconnaissance finissent par s’inscrire dans la grande fresque des personnages historiques. Sa momie morcelée a été découverte sur le site d’Abydos, dans le sud de l'Egypte. Et grâce au travail acharné d’archéologues de l'université de Pennsylvanie, le squelette du roi a finalement pu être reconstitué. Les observations préliminaires indiquent que le pharaon mesurait environ 1,75 m. Même si le tombeau de Senebkay ne se démarque pas par sa taille, tout laisse à penser qu’il abritait bien la sépulture d’un pharaon. Le souverain est la première preuve tangible de l’existence de la dynastie Abydos, une lignée soupçonnée d’avoir existé sans jamais avoir été mise au jour. "C’est excitant de trouver en même temps que le tombeau d’un pharaon inconnu auparavant, la nécropole de toute une dynastie oubliée" a souligné dans un communiqué Josef Wegner directeur des travaux de mobilier volé et réutiliséLes archéologues ont découvert les restes du squelette de Senebkay l’été dernier lors de fouilles. Le corps, bien endommagé était enfermé dans un énorme sarcophage de quartzite rouge d’environ 60 tonnes. Mais davantage de recherches ont été nécessaires pour découvrir que le cercueil appartenait en fait à Sobekhotep I. La sépulture du pharaon, dissimulée dans une pyramide d’Abydos, aurait reçu un siècle plus tard, la visite d’autres monarques. Et les visiteurs ne se seraient pas gênés pour piller le tombeau à leurs propres ainsi que Senebkay a récupéré quelques éléments du mobilier pour orner sa propre tombe, prenant soin de recouvrir le nom du propriétaire original par le sien. Le tombeau de Senebkay a été daté à 1650 avant JC. Il se compose de quatre chambres dont une funéraire. Les murs blancs en calcaire de celle-ci sont peints avec des images colorées de divinités. Les chercheurs ont identifié les figures de Nout, déesse du ciel, de Nephtys, déesse protectrice des morts, de Serket, déesse protectrice du venin de serpents, scorpions et autres animaux dangereux, et enfin d’Isis, déesse protectrice et inscription en guise de confirmation Un cartouche retrouvé sur les murs de la tombe attesterait de l’identité du propriétaire. Sur celui-ci est écrit "roi de Haute et Basse Egypte, Woseribre, le fils de Râ, Senebkay". La découverte confirme donc l'existence de la dynastie Abydos de Senebkay, dont le nom apparaît notamment sur le papyrus de Turin datant de 1200 avant JC, soit environ 400 ans après que le monarque a gouverné. Le document mentionne également les noms d’une douzaine de rois appartenant à la dynastie, malheureusement, la plupart d’entre eux sont illisibles. Les archéologues soupçonnent l’existence d'au moins 16 tombes de pharaons de cette époque ensevelies sur le site d’AbydosCrédit photo Jennifer Wegner, Penn Museum
EnEgypte antique, la conception d’un enfant se faisait en juillet et en août. En étudiant les dépouilles de femmes tout juste fécondées retrouvées dans
Vue partielle du sarcophage de Toutankhamon, le 28 septembre 2015 dans son tombeau de la Vallée des rois, à Louxor en Egypte DESOUKI - Un trésor inviolé -En novembre 1922, après six saisons de fouilles infructueuses, l'archéologue britannique Howard Carter et son riche mécène Lord Carnarvon, découvrent une sépulture inviolée dans la Vallée des Rois, près de Louxor en Haute-Egypte. Le trésor funéraire, réparti dans les cinq pièces du tombeau, est intact, avec objets mobilier, bijoux, statuettes, dont bon nombre en or massif. Le tombeau du jeune pharaon est le seul mausolée de l'Egypte antique à avoir livré un tel trésor. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Les innombrables autres tombeaux de pharaons et notables mis au jour jusqu'alors avaient été pillés au fil des millénaires. Parmi les pièces notables un lit en bois plaqué or orné d'une tête de lion, un char ou encore un poignard au manche d'or, forgé à partir du fer de météorites selon des chercheurs. Le spectaculaire sarcophage en quartzite rouge hébergeait trois cercueils emboîtés les uns dans les autres, dont le dernier 110 kg en or massif abritait la momie de Toutankhamon. Mais la pièce maîtresse du trésor est un masque funéraire en or de plus de 10 kg incrusté de lapis-lazuli et d'autres pierres semi-précieuses. Il a été abîmé en 2014 lorsque la barbe postiche, symbole de tous les pharaons, s'était détachée du menton lors de travaux dans le musée du Caire. Des employés avaient alors grossièrement recollé la barbe au moyen d'une importante couche de colle epoxy, nécessitant deux mois de travaux de restauration menés par une équipe d'experts allemands. - Les énigmes de "l'enfant pharaon" - Toutankhamon, pharaon de la XVIIIe dynastie égyptienne, qui serait mort à l'âge de 19 ans, était peu connu jusqu'à la découverte de son tombeau. Depuis, le destin de "l'enfant pharaon" mort à la sortie de l'adolescence après un bref règne, n'a cessé de fasciner les égyptologues confrontés à de nombreuses énigmes sur les circonstances de sa mort et sur sa filiation. Des tests ont permis d'établir que le père de Toutankhamon était le pharaon Akhénaton, époux de la légendaire reine Néfertiti. Pour autant, celle-ci n'est pas la mère de Toutankhamon. La mère du jeune pharaon, dont la momie a été retrouvée, serait la soeur de son père. L'analyse génétique montre en effet une consanguinité entre les parents. C'est à l'âge de neuf ans, vers 1333 avant Jésus Christ, que Toutankhamon serait monté sur le trône de Haute et Basse Egypte, mais les âges et les dates varient d'un spécialiste à l'autre. Le pays sort alors d'une période troublée, marquée par la volonté d'Akhenaton d'instaurer une forme de monothéisme avec le dieu du soleil Aton. L'arrivée au pouvoir du jeune prince permet aux tenants du culte d'Amon de reprendre le dessus et de rétablir les divinités traditionnelles. Toutankhamon aurait épousé sa demi-soeur, Ankhsenpaamon. Le mariage entre frère et soeur était commun dans l'Egypte des pharaons. Le couple n'a pas de descendance connue mais deux momies d'enfants mort-nés ont toutefois été découvertes dans la tombe du jeune roi. Plusieurs théories ont circulé sur les causes de son décès maladie, accident de char ou meurtre. En 2010, des tests génétiques et des études radiologiques ont révélé que l'adolescent serait en fait mort de paludisme combiné à une affection osseuse. Le jeune roi boitait d'un pied en raison d'une nécrose osseuse et son système immunitaire était déficient. - Un trésor maudit ? -Quelques mois après la fabuleuse découverte, le mythe de la malédiction du pharaon, qui frapperait ceux qui ont ouvert le tombeau, prend corps lorsque le financier des recherches Lord Carnavon meurt en avril 1923 de septicémie, après une coupure infectée. La légende se nourrit aussi d'une série de décès, comme celui de Carter qui meurt d'un cancer en 1939 à l'âge de 64 ans sans avoir achevé la publication de son ouvrage sur la sépulture, alors qu'il avait consacré dix ans à répertorier le trésor. Une explication à certains décès pourrait résider dans l'existence de champignons toxiques à l'intérieur de la tombe. Agatha Christie s'inspirera de la malédiction de Toutankhamon pour une de ses célèbres nouvelles The adventure of the egyptian tomb L'aventure du tombeau égyptien. Les plus lus OpinionsLa chronique d'Albert MoukheiberAlbert MoukheiberLa chronique de Vincent PonsVincent Pons, avec Boris ValléeLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain Fort
Nefertari: Journey to Eternity (Néfertari : Voyage vers l’éternité) est une expérience en réalité virtuelle qui vous plonge à l'intérieur de la tombe de la reine Néfertari. U
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Ilest bien connu que, dans les cités grecques classiques, toute décision politique importante exige un vote, un vote de l’Assemblée du peuple, un vote du Conseil, ou, plus souvent, deux votes successifs du Conseil d’abord, de l’Ecclèsia ensuite. À Athènes, notamment, la plupart des textes soumis à l’Assemblée ont été examinés préalablement par le Conseil des Cinq-Cents 1.
2 juillet 2010 5 02 /07 /juillet /2010 2300 Nous étions donc tous réunis, samedi dernier, amis lecteurs, pour ensemble visiter la tombe du patriarche d'une importante famille de hauts fonctionnaires memphites de cette VIème dynastie qui clôture pratiquement l'Ancien Empire égyptien. La semaine précédente, j'avais, dans une première intervention, largement souligné la destinée particulière des membres de cette lignée puis-je me permettre de vous conseiller d'éventuellement vous replonger dans vos notes de la dernière quinzaine si, d'aventure, l'un ou l'autre détail de notre visite de ce matin venait à vous échapper ? Il est effectivement dans mes intentions aujourd'hui de vous convier à découvrir, toujours dans la même nécropole d'Abousir, immédiatement au sud de celui de son père, le mastaba d'Inty, à tout le moins sa partie supérieure. Une toute petite précision s'impose d'emblée alors que je m'étais donné comme ligne de conduite d'envisager avec vous les travaux des équipes de l'égyptologue tchèque Miroslav Barta durant les ultimes années du précédent siècle, je pense opportun de quelque peu transgresser cette position dans la mesure où les mastabas de Qar et de son fils Inty, dans le même complexe funéraire, se doivent à mon sens d'être traités ensemble ; même si, de campagne en campagne, ce fut en 2000-2001 que les archéologues exhumèrent la superstructure du mastaba - ce que nous verrons ce matin -, et en 2002 que le puits funéraire dans lequel nous descendrons samedi prochain fut mis au jour, soit à ce présent XXIème siècle qui constituera, dès l'automne prochain, un nouveau grand "chapitre" de nos visites de la nécropole. Aujourd'hui, donc, et sans nous préoccuper de chronologie, c'est chez Inty que nous nous rendons. Inty - ou Inti, selon les graphies , - était, souvenez-vous, le petit dernier, le fils "préféré" que Qar eut d'une seconde épouse. Comme son père, comme ses frères, ce puîné embrassa la fonction de Juge de Nekhen. Miroslav Barta pense qu'il est très probable que, si pas simultanément, le tombeau d'Inty fut construit fort peu de temps après celui de son père. Et de baser son opinion sur un aménagement particulier remarqué lors des fouilles il a en effet retrouvé l'emplacement d'une petite ouverture dans le mur ouest partiellement détruit de la chapelle vizirale de Qar qui donnait sur une pièce située juste en face de l'entrée de la tombe de son fils et donc, qui reliait ensemble les deux monuments funéraires. C'est la raison pour laquelle, les plus attentifs d'entre vous auront très certainement noté que dans une précédente intervention, j'ai employé les termes de "semi-indépendants" pour définir les deux mastabas. C'est à l'ouest, en fonction de la topographie du cimetière sud d'Abousir, que se situe la façade du tombeau, d'une largeur de 2, 72 m, magnifiquement préservée qu'elle fut, comme vous pouvez le constater, grâce au sable du désert qui recouvrit le lieu des millénaires durant. Composé de blocs de calcaire décorés de reliefs dans le creux ayant encore partiellement conservé leurs teintes d'origine, chacun des deux côtés de l'entrée propose, sur 1, 03 m de large, en séquences relativement symétriques, le juge Inty, debout, en taille héroïque, tenant, bien visible sur la paroi gauche, un long bâton. Torse nu, simplement vêtu d'un pagne à devanteau, il est coiffé d'une perruque longue, à fines mèches parallèles, et arbore une barbe très courte. Un large collier ousekh composé de plusieurs rangs de perles lui orne le cou. A ses pieds, Ankhemtjenenet et Senedjemib II, ses deux fils, représentent la troisième génération de la famille de Qar. Disposés en colonnes verticales, les hiéroglyphes, eux aussi gravés en creux, que vous apercevez devant et au-dessus des personnages donnent à lire une courte autobiographie du juge Inty, mais aussi le traditionnel "Appel aux vivants" ou "aux visiteurs", suivant les propos inscrits. Si vous observez attentivement, vous distinguerez au-dessus de la main d'Inty, à gauche comme à droite, mais plus facilement de ce côté, trois hiéroglyphes - djed-f, en égyptien -, signifiant "Il dit " ces pictogrammes marquent l'introduction aux paroles, prières ou menaces, parfois promesses, que le propriétaire de la tombe adressait à ceux, prêtres, fonctionnaires de la nécropole et bien évidemment ses propres parents, qui étaient amenés à pénétrer dans la chapelle où se devait de lui être rendu un culte ; culte qui, j'aime à le rappeler, constituait tout à la fois un devoir de mémoire de la part des proches et, de manière concomitante, l'espérance en la survie dans l'Au-delà pour le défunt lui-même. Pour différencier les textes en question, les égyptologues nomment "Appel aux vivants" ceux qui se composent seulement de prières, "Formule prohibitive" quand il n'y a que des menaces et "Adresse aux visiteurs" ceux qui réunissent les deux. Le savant genevois Henri Wild, 1902-1983, se référant à plusieurs formulations semblables relevées dans différents mastabas de cette époque, dont celui de Ti, à Saqqarah, proposa jadis une traduction type mettant l'accent sur le fait qu'est menacée d'être jugée devant le grand dieu toute personne qui entrerait dans le tombeau en n'étant point pure, c'est-à-dire, pour les prêtres ritualistes par exemple, en ayant consommé des produits prohibés souvenez-vous des poissons que j'ai déjà ici évoqués. Le texte, ou plutôt le défunt, ajoute la précision qu'il a été initié à divers rites, qu'il connaît les livres sacrés et que, de la sorte, il est à même de protéger ceux qui, en état de pureté, lui apporteront les offrandes funéraires. J'annonce tout de suite que je ne dispose pas du texte exact que les épigraphistes tchèques ont relevé chez Inty ; toutefois si un exemple de cette formule vous intéresse, amis lecteurs, je ne puis que vous conseiller, une fois encore, de vous rendre sur l'excellent site d'OsirisNet où, dans l'étude qui y est proposée du mastaba de Ti, est reprise in extenso, tout au bas de la page 1, la traduction d'Henri Wild. Avant de pénétrer ensemble plus avant, je voudrais vous faire remarquer la présence, ici, de petits obélisques - ou ce qu'il en reste habituellement érigés par paires - il y en eut donc très probablement quatre devant le mur de façade de la tombe d'Inty -, ces monuments que l'on retrouvera bien plus tard, au Nouvel Empire, pesant des tonnes cette fois, essentiellement de part et d'autre des pylônes d'entrée des temples, symbolisaient en fait les rayons du dieu solaire Rê auquel, au point de départ, on rendait hommage dans la ville d'Héliopolis. A l'intérieur du passage d'accès d'environ 1, 30 m de long, les égyptologues découvrirent les processions d'hommes et de femmes, ces dernières, sur le mur ouest, personnifiant les différents domaines agricoles ayant appartenu au défunt et dont les noms sont en rapport avec le roi Téti, tandis que les premiers, sur le côté est, figuraient les porteurs d'offrandes scènes récurrentes dont peut-être vous vous souviendrez avoir vu un exemplaire, si pas lors d'un séjour en Egypte, à tout le moins, pour les plus fidèles d'entre vous, quand ensemble nous avons visité la chapelle d'Akhethetep, en salle 4 du Département des Antiquités égyptiennes du Musée du Louvre. Empruntons maintenant, voulez-vous, ce petit couloir d'entrée d'un peu moins de 70 centimètres de largeur - merci de prendre garde à ne pas abîmer les parois décorées, notamment avec vos sacs à dos - pour déboucher dans une petite cour de 5, 46 sur 3, 33 mètres, pavée de blocs de calcaire là, dans le mur ouest, a été aménagée la chapelle cultuelle large d'1, 70 m et haute de 2, 15 m de laquelle, il y a quelques années, fut exhumée la stèle fausse-porte les deux clichés ci-dessous, émanant des archives de l'Institut tchèque d'égyptologie, font état de deux étapes de son excavation. Taillée dans un bloc monolithique en calcaire, surmontée d'une corniche à gorge, elle est couverte de hiéroglyphes gravés en creux détaillant les traditionnelles formules d'offrandes, mais surtout, le nom et les titres officiels d'Inty informations non négligeables permettant aux chercheurs de partiellement reconstituer sa carrière prestigieuse au sein de l'Administration centrale memphite. Dans la partie supérieure de cette fausse-porte la "fenêtre" à travers laquelle l'on peut "voir" une relativement rare double représentation du défunt assis à la table de son repas funéraire. Au fur et à mesure du dégagement des parois de la chapelle cultuelle d'Inty, il apparut très vite aux membres de l'équipe de Miroslav Barta que les scènes qui en ornaient les différents murs étaient d'une beauté et d'une finesse d'exécution bien supérieures à celles qui avaient été retrouvées quelques années auparavant dans celle de Qar, son père. Parmi elles, notamment, remarquablement bien préservé, un bas-relief d'Inty à nouveau devant sa table d'offrandes. L'égyptologue belge Nadine Cherpion a magistralement démontré, dans une étude centrée sur la datation des mastabas et des hypogées de l'Ancien Empire, qu'existaient quatre catégories de critères utiles permettant de chronologiquement classer ces tombes avec une certaine précision ce sont bien évidemment les vêtements portés par le défunt, mais aussi les détails de la fausse-porte, la table d'offrandes devant laquelle il se tient, sans oublier son contenu, et - c'est la raison pour laquelle je précise ici ce point -, le siège sur lequel il est assis. En effet, en comparant des figurations semblables dans plusieurs chapelles funéraires, l'on se rend très vite compte que les sièges peuvent présenter des différences notoires dans maints détails de leur fabrication notamment aux niveaux des dossiers, de la présence ou non d'un coussin, de la forme des pieds, etc. Celui d'Inty est constitué d'un dossier bas que recouvre un coussin, a des pieds thériomorphes, c'est-à-dire évoquant un animal sauvage ici, ce sont des pattes de lion, et se termine, à l'arrière, par une ombelle de papyrus. Tous ces points, mais aussi bien d'autres dans la tombe, permettent donc de la situer à l'époque du roi Téti. Autre scène, sous le siège la présence d'un nain tenant en laisse Idjem, - son nom a été incisé juste au-dessus de ses oreilles dressées -, le chien favori du défunt, un de ces "Lévriers des Pharaons" à la rare élégance auquel, précédemment, j'ai déjà fait allusion. © Archive of the Czech Institute of Egyptology, Kamil Voděra. Certains d'entre vous peut-être ont pu admirer semblable représentation, pas loin d'ici, à Saqqarah, dans le mastaba de Mererouka, qui fut lui aussi, comme Qar, le père d'Inty, vizir de Téti, à la VIème dynastie. Si, comme vous l'avez assurément noté, les traits du visage ainsi que quelques détails de ce portrait du fils préféré de Qar, comme le large collier ousekh qu'il porte sur la poitrine, ou la perruque finement frisée à laquelle je faisais référence il y a quelques instants, attestent indiscutablement du haut degré de perfection de l'artiste égyptien, ils manifestent également l'exigence esthétique qu'Inty imposa à ceux qui s'occupèrent de sa "Maison d'éternité" il faut en effet que vous soyez conscients qu'à cette époque déjà, les propriétaires des tombes privées mettaient un point d'honneur à contrôler et la qualité du travail architectural en général et celle de la décoration intérieure en particulier. Aux fins de clôturer l'évocation de l'immense complexe funéraire de Qar et de ses proches, et avant, je l'avoue, les vacances que, partiellement, mon blog se propose de m'offrir, je vous invite à nous retrouver une dernière fois, amis lecteurs, samedi prochain, devant le mastaba d'Inty ensemble nous descendrons visiter la chambre sépulcrale. A samedi ... Barta 2004, 53-6 ; Id. 2005 ; Cherpion 1989, 25-42 ; Onderka & alii 2008, 104 ; Wild 1959, 101-12 Publié par Richard LEJEUNE - dans L'Égypte à l'Est
I Dans l’analyse des procédures politiques du monde mycénien, il convient de distinguer nettement entre le niveau central de l’autorité palatiale et le niveau local 4. Les données archéologiques ne nous éclairent guère sur la prise de décision dans les capitales palatiales. Il n’y a pas de grande place publique à l’intérieur des forteresses mycéniennes, mais on ne saurait
Des archéologues ont annoncé avoir découvert par hasard la tombe d'un scribe royal dans la vaste nécropole de Thèbes en Égypte. Vieille de ans, la chambre funéraire présente des murs richement décorés de dieux mais aussi de babouins. Une tombe peut en cacher une autre. C'est ce qu'ont découvert des archéologues japonais menant des fouilles à Louxor en Égypte. Anciennement nommée Thèbes, la ville est célèbre pour les nombreux temples et nécropoles antiques qu'elle abrite. C'est ainsi sur l'un de ces sites que Jiro Kondo et son équipe de l'Université de Waseda ont mis au jour une sépulture inconnue. Alors qu'ils nettoyaient les débris de la tombe d'Userhat, un officiel au service du pharaon Amenhotep III, les archéologues ont découvert un trou au niveau de l'avant-cour. En l'explorant, ils ont constaté que la cavité menait vers une chambre funéraire séparée et totalement Jiro Kondo et son équipe, la tombe en forme de T aurait plus de ans et remonterait à la période ramesside entre 1292 et 1069 avant notre ère. Quant à l'identité de son propriétaire, celle-ci a rapidement pu être déterminée grâce aux hiéroglyphes présents sur les murs de la sépulture. Nommé Khonsu, le défunt détenait "le titre de scribe royal". Une tombe richement décoréeOutre des hiéroglyphes, la tombe est richement décorée de scènes représentant le défunt et des dieux. "Sur la partie Sud du mur Est du hall transversal, Khonsu et sa femme sont montrés adorant les dieux Osiris et Isis. Derrière Khonsu et sa femme se trouve une représentation de deux divinités à tête de bélier, probablement, Khnoum ou Khnoum-Rê", expliquent les archéologues dans un communiqué. La frise observée au niveau du plafond est selon Jiro Kondo, d'un style typique de la période ramesside. Mais une autre scène a attiré l'attention des spécialistes. "Sur le mur Nord de l'entrée, se trouve une scène gravée montrant le bateau solaire du dieu Rê-Atoum adulé par quatre babouins en pose d'adoration", expliquent-ils. Bien qu'ils ne soient pas natifs de la région, les babouins étaient des animaux très appréciés durant l’Égypte les historiens, ils étaient même régulièrement associés à Rê-Atoum, le dieu créateur et parfois décrits comme la muse spirituelle des scribes. Ce qui expliquerait probablement la présence de l'animal sur les murs de la tombe de Khonsu qualifié de "véritable scribe renommé". Des fouilles à poursuivre Selon les images dévoilées par l'équipe, les peintures sont dans un état variable. Certaines sont encore clairement visibles alors que d'autres ont été effacées par le temps. De façon générale, celles du plafond paraissent mieux conservées que celles des murs. Une étude plus approfondie pourrait permettre d'en apprendre plus sur le défunt mais les fouilles sont loin d'être terminées. Les archéologues pensent que toute une partie de la tombe reste à mettre au jour. "L'entrée de la chambre intérieure est actuellement obstruée par des colonnes de blocs rocheux", précisent les chercheurs dans le communiqué. Ils s'attendent ainsi à découvrir davantage de murs peints à l'intérieur de cette pièce inexplorée.
Eneffet, nous avons préparé les solutions de CodyCross Sépulture pour notable de l’Égypte antique. Ce jeu est développé par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant attendue version Française du jeu. On doit trouver des mots et les placer sur la grille des mots croisés, les mots sont à trouver à partir de leurs définitions.
Carte mentaleÉlargissez votre recherche dans UniversalisLe Nouvel Empire Thèbes et MemphisThèbes, en Haute Égypte, fut à son époque la plus glorieuse, celle du Nouvel Empire vers 1550-1070 av. l'un des lieux majeurs de l'histoire égyptienne. À Karnak, le grand temple dynastique, avec ses annexes, mériterait à lui seul une longue étude, tant sa prospection a été l'objet de travaux – et pourtant une partie considérable des ruines demande encore à être fouillée et beaucoup des vestiges dégagés ne sont pas à proprement parler publiés. De nombreux archéologues, tels G. Legrain, M. Pillet, H. Chevrier, C. Robichon, Labib Habachi y ont, pendant des décennies, développé une activité inlassable ; les secteurs de recherches sont multiples depuis Karnak-Nord, où la mission de l'Institut français d'archéologie orientale a repris en 1968 les fouilles interrompues depuis 1951, jusqu'au temple de Mout, qu'explore une mission américaine. Le Centre franco-égyptien, fondé en 1967, a entrepris des travaux d'importance relevé du décor et des inscriptions des monuments, fouilles, travaux de restauration et d'anastylose. Dans l'enceinte du temple d'Amon, qui est sans doute le site le plus étudié de toute l'Égypte pharaonique, on continue à faire des découvertes importantes. Ainsi, le môle ouest du neuvième pylône du temple, construction massive qui menaçait de s'effondrer, a été démonté pierre par pierre depuis 1968 ; dans le remplissage ont été recueillis plus de 13 000 blocs les talatates » décorés de reliefs, qui provenaient d'un temple disparu, édifié à l'est de la grande enceinte de Karnak par le pharaon hérétique Aménophis IV vers 1360 av. et consacré par lui à Aton, le disque solaire. Après l'échec de la révolution religieuse amarnienne, on tenta d'en faire disparaître jusqu'au souvenir ; les pierres du temple furent démontées et réutilisées par le pharaon Horemheb vers 1330-1300 av. pour le remplissage du neuvième pylône. Les talatates sont enregistrées et étudiées par les archéologues de Karnak ; leur assemblage permet peu à peu de reconstituer les parois décorées de ce temple inconnu ; des informations précieuses sont obtenues sur l'architecture, l'urbanisme et la vie dans la capitale thébaine sous la XVIIIe dynastie, et plus précisément durant la période face de Karnak, sur la rive ouest du Nil, de nombreuses missions archéologiques poursuivent des fouilles, des travaux de relevés, de nettoyage et de restauration dans les tombes ou les temples funéraires de la nécropole thébaine. Une mission de l'université de Berkeley Californie, dirigée par K. R. Weeks, a travaillé à l'élaboration d'une nouvelle carte de l'ensemble de la nécropole en réalisant pour ce faire une prospection topographique et archéologique générale du secteur, avec des plans, des coupes et des relevés de tombes. Dans la Vallée des Rois, une mission américaine est en train de poursuivre le déblaiement de ce qui pourrait être une tombe collective des enfants de Ramsès II. À Deir el-Bahari, la mission polonaise reconstruit le célèbre temple funéraire de la reine Hatshepsout et celui de son implacable rival Thoutmosis III. Dans la vallée des Reines, plusieurs tombes posent de graves problèmes de conservation. C'est le cas en particulier de la sépulture si délicatement peinte de la célèbre reine Néfertari, épouse de Ramsès II, qui a été l'objet d'une magnifique restauration sous l'égide de la fondation la nécropole thébaine ne saurait se prévaloir du monopole des tombes du Nouvel Empire. Dans l'autre capitale, Memphis, il faut mentionner la découverte importante, à Saqqara, de la tombe préparée pour Horemheb, à la fin de la XVIIIe dynastie. On ne connaissait de cette sépulture que de magnifiques fragments de reliefs dérobés au xixe siècle et conservés dans les grands musées ; son emplacement exact a été mis en évidence par la mission conjointe de l'Egypt Exploration Society de Londres et du musée de Leyde ; construite par Horemheb lorsqu'il n'était pas encore souverain, cette sépulture est devenue celle de son épouse, la reine Moutnedjemet. Le matériel recueilli a fourni de précieuses indications sur la fin de la XVIIIe dynastie, pour laquelle nos connaissances demeurent assez contradictoires. À proximité immédiate, les déblaiements ont fait connaître les tombes aux beaux reliefs de Tya et de Maya. C'est à Saqqara encore, dans la [...]1 2 3 4 5 …pour nos abonnés, l’article se compose de 15 pagesAfficher les 9 médias de l'articleÉcrit par secrétaire perpétuel de l'Académie des inscriptions et belles-lettresClassificationHistoireArchéologieArchéologie aires géographiquesAfrique, archéologieÉgypte, archéologieHistoireArchéologieArchéologie aires géographiquesAfrique, archéologieSoudan, archéologieHistoireHistoire chronologiePréhistoireHistoireHistoire chronologieAntiquitéÉgypte antique, histoireAutres références ÉGYPTE ANTIQUE » est également traité dans ÉGYPTE ANTIQUE - Vue d'ensembleÉcrit par François DAUMAS • 1 614 motsLorsque, au vie siècle de notre ère, l'empereur Justinien fit amener à Constantinople les statues d'Isis qu'on adorait encore dans l'île de Philae, à la première cataracte, lorsqu'il emprisonna les derniers prêtres de la déesse, il semblait vraiment que la civilisation de la vieille Égypte était bel et bi […] Lire la suiteÉGYPTE ANTIQUE Histoire - L'Égypte pharaoniqueÉcrit par François DAUMAS • 12 253 mots • 17 médiasL'Égypte est une étrange réalité géographique. Tout s'y fait au contraire des autres pays, remarque Hérodote. C'est une longue oasis verdoyante d'une fertilité extraordinaire. Mais, hors de la plaine qui borde le fleuve, c'est un terrain d'une affreuse aridité, qui commence de manière si abrupte qu'on peut avoir un pied dans les cultures et l'autre dans le […] Lire la suiteÉGYPTE ANTIQUE Histoire - L'Égypte ptolémaïqueÉcrit par André BERNAND • 3 460 mots • 1 médiaÉgypte ptolémaïque, Égypte lagide, Égypte hellénistique cette triple appellation est employée communément pour désigner une même réalité, dans l'espace et dans le temps, mais avec des connotations particulières. 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sepulture pour notable de l egypte antique