Avec l’été et le traditionnel Tour de France, ses paysages de montagne et ses épreuves palpitantes, beaucoup sont tentés de se remettre en selle, et pourquoi pas de se fixer un défi l’ascension d’un col à vélo ! Si cet objectif est à la portée de tous, à condition d’être en bonne forme physique, d’avoir une bonne dose d’eau et de courage, il nécessite quelques préparations, tant physiques que matérielles. Florilège des grands conseils à suivre pour se préparer à grimper un col et y un planning d’entraînement et s’y tenirAprès avoir choisi le col dont on souhaite faire l’ascension en vélo, choix qui doit évidemment être en accord avec ses capacités physiques et sportives, il est crucial de mettre en place un programme d’entraînement suffisant. Pas question de se lancer à l’assaut de la montagne sans avoir plusieurs centaines de kilomètres de vélo au différents sites de cyclisme spécialisés s’accordent sur le fait qu’il faut s’y prendre plusieurs semaines à l’avance, en divisant l’entraînement en deux parties pédaler sur du plat d’une part, et s’entraîner sur le terrain d’autre part, avec des sorties sur des routes vallonnées ou sur des cols plus petits que celui dont on prévoit l’ exemple, on commence par travailler sur du plat, avec un dispositif “home trainer” vélo en appartement, en fractionné, avec des petites séries d’effort. Le but travailler force et vélocité. Séparer chaque série de séance de récupération dite “active”, c’est-à-dire en pédalant sans parallèle, des sorties sur le terrain permettront d’augmenter l’endurance, et d’évaluer ses capacités sur terrain vallonné, voire sur des côtes dont on pourra peu à peu augmenter le niveau cardiaque, il est recommandé de s’entraîner progressivement jusqu’à atteindre 70 à 90% de sa fréquence cardiaque maximale FCM.On finalise enfin son entraînement par la montée d’un col plus faible que celui envisagé, tant en termes de dénivelé que de permettra de trouver son rythme idéal, autour de 85% de la fréquence cardiaque maximale soit 165 pulsations par minute si sa FCM est de 190 battements/minute, et d’essayer de s’y tenir sans tenter d’accélérer, pour ne pas risquer le jours avant l’ascension, on privilégie une pratique sportive modérée, pour ne pas épuiser ses forces, et surtout on se repose, avec de bonnes nuits de sommeil !Bien connaître son itinéraire et s’informer sur la météoMême si vous connaissez la région comme votre poche, n’hésitez pas à rejeter un coup d’oeil sur votre parcours avant de partir, la veille. Savoir exactement où l’on est lors d’une ascension d’un col en vélo permet de gérer et d’adapter son effort en conséquence, et de réajuster ses objectifs si nécessaire, sans avoir besoin de ressortir le plan, le smartphone ou tout autre guide. Avec l’itinéraire en tête, vous serez à même de savoir exactement où vous pourrez remplir vos bouteilles, faire une pause, faire une photo, redoubler d’effort ou au contraire lever le pied… Comme dit le proverbe Un homme averti en vaut deux ! »Pour la météo, c’est le même principe. Il est fortement conseillé d'étudier la météo du col quelques jours avant l’ascension, afin de “prendre la température”, d’observer comment les nuages bougent, quelle température est prévue. Si la météo est très changeante en montagne, des tendances peuvent se dégager, vous permettant d’identifier localement ce à quoi vous pouvez vous attendre. Toujours dans l’idée de ne pas être pris au dépourvu le jour J. Le cycliste professionnel Mike Cotty recommande par exemple d’utiliser le site qui fournit des prévisions météo horaire précises et est doté de radars de s’équiperC’est un conseil qui va avec celui de l’étude de la météo. Pas question de lésiner sur l’équipement du cycliste de montagne. Comme la météo peut être très changeante, et les températures froides au niveau du ressenti, surtout en haute altitude, il est recommandé de tout prévoir, ou presque. Il vaut mieux avoir légèrement trop chaud que de se retrouver frigorifié à prier pour une douche chaude ! Une petite polaire et un coupe-vent ne seront pas de trop ! Car si pendant l’effort, on a tendance à avoir un ressenti très chaud, du fait de la transpiration, cela peut vite changer une fois arrêté en altitude, ou lors de la pas les équipements de l’été contre le soleil crème solaire, lunettes de soleil, t-shirt à manches larges… Et surtout un bon casque !Prévoir suffisamment d’eauEn termes d’hydratation, il est évidemment recommandé de boire de l’eau en conséquence, avant, pendant et après l’effort. Sur le site Col Collective, le cycliste professionnel Mike Cotty recommande de boire peu et souvent Même si vous n'avez pas soif, continuez à siroter votre bouteille d'eau. Comme vous travaillez de plus en plus fort en grimpant, vous perdez de plus en plus d’eau par la transpiration, il est donc essentiel de maintenir l'hydratation. »Comme nous avons tous des niveaux de transpiration différents, il va falloir un peu d'expérimentation pour savoir combien il vous faut boire. Pour commencer, essayez de consommer 750ml de liquide par heure et ajustez à partir de là. Il vaut mieux porter un poids supplémentaire comme un chameau que de manquer d'eau ! », indique Mike l’on se lance dans un après-midi de vélo, mieux vaut donc s’équiper en conséquence, et/ou s’assurer de pouvoir refaire le plein d’eau à mi-parcours. Surtout en période de grosse chaleur !Rappelons qu’en cas d’épisode de canicule, il n’est pas recommandé de faire du sport aux heures d’ensoleillement maximales, à savoir entre 10h et 16h. On préférera partir de bon matin pour être rentré avant midi, ou en fin de journée quand le soleil se fait plus doux. Mais attention, la nuit tombe vite en montagne !Faire le plein de glucidesL’ascension d’un col, si “facile” soit-il, nécessite beaucoup de calories. L’alimentation ne doit donc pas être négligée, au risque de faire un malaise. Le cyclisme est un sport d’ à trois jours avant l’effort, il est donc conseillé de miser sur les glucides complexes, et de limiter en parallèle les sucres rapides sucreries notamment, l’alcool, la viande rouge et les graisses. Pas de souci en revanche pour les fruits et légumes, si on les tolère bien au niveau digestif. Les sites spécialisés recommandent de privilégier les céréales type avoine, muesli, seigle, blé…, les féculents, si possible complets, et les fruits jour de l’ascension du col, il est bon de prévoir des aliments à index glycémique élevé, afin d’avoir du glucose rapidement assimilable. Fruits secs, pâte d’amande, pâte de fruits, barres de céréales… À chacun ses préférences. Des gels spécifiques, faciles à digérer, sont proposés dans les magasins de sport. Ils permettent d’obtenir rapidement du glucose lorsque l’estomac est un peu chamboulé par l’ tester avant, pour être sûr de bien les certains cyclistes emportent avec eux une compote, du pain d’épice ou même des biscuits, en guise de “récompense” une fois au en conséquenceToute pratique sportive modérée à intense requiert un bon échauffement, et le cyclisme de montagne ne déroge pas à cette règle. En s’élançant à froid, on risque davantage d’accidents musculaires et articulaires. Le but de l’échauffement se préparer physiquement et mentalement à l’épreuve sportive. Il amène les muscles et le coeur à un état proche de celui de l’épreuve, mais de façon progressif permettra aux petits capillaires sanguins des muscles sollicités de s’ouvrir progressivement afin que les muscles soient correctement alimentés en oxygène. De quoi gagner en vélo, un bon échauffement peut consister àpédaler sur du plat, à un rythme très faible, et d’aborder le début de l’ascension tout aussi progressivement, jusqu’à atteindre sa vitesse de croisière, celle où l’on se sent bien, et que l’on pense pouvoir maintenir des heures son matériel et emporter un kit de réparationToujours dans l’idée d’être bien équipé et de parer à toute éventualité, il est de bon ton de bien connaître son vélo et d’avoir un kit de réparation d’urgence, en cas de panne. Ce serait dommage de redescendre en taxi, si tant est qu’il y ait assez de réseau pour en appeler regonfler un pneu, remplacer une chambre à air, poser une rustine, remettre la chaîne en place après avoir déraillé… Voilà quelques-unes desréparations d’urgence du cyclisteà connaître lorsqu’on se lance dans l’ascension d’un col de montagne. Prenez le temps d’apprendre ces quelques manoeuvres avant de partir ou d’être accompagné d’un bon bricoleur, car sur place, il sera trop tard !Un petit kit comprenant tout le nécessaire pour réparer rapidement un vélo sera idéal pour vous dépanner et vous permettre de continuer votre ascension dans de bonnes fixer des objectifs réalistesEvidemment, il n’est pas question de se lancer dans l’ascension d’un col dans les Alpes, avec énormément de dénivelé, si l’on ne pratique pas le vélo depuis très longtemps. Même si votre entraînement vous y a préparé, restez réaliste sur votre objectif, en commençant pourquoi pas par un col dans le massif central ou dans les Vosges, plus accessible au niveau débutant ou intermédiaire. Il sera toujours temps de faire l’ascension du Mont Ventoux plus tard !Un fois le col choisi, identifiez les différentes étapesen termes de kilométrage, de dénivelé, de paysage, etc. Des sites spécialisés recensant les différents cols vous renseigneront. Il vous sera plus facile d’appréhender les difficultés si elles sont divisées il est plus motivant de se dire que l’on a trois périodes d’environ une demi-heure plutôt qu’une heure et demie de montée ! A chaque étape réussie, n’hésitez pas à vous encourager vous-même, pourquoi pas avec un selfie, une collation, une gorgée d’eau… Le sport, surtout lorsqu’il est intense et demande de l’endurance, est surtout une épreuve mentale. Si le moral et la motivation sont là, c’est déjà presque gagné !
Publié le 11 août 2022 à 18h38 Modifié le 11 août 2022 à 18h39 Pour Vincent Barré, Arroser la nuit, c'est du bon sens. Le Télégramme / Lionel Samson Tombé ce mercredi 10 août, un arrêté préfectoral oblige les agriculteurs à arroser leurs cultures la nuit. Du bon sens en période de sécheresse », pour Vincent Barré, maraîcher à Loudéac. L’absence de pluie depuis un mois et demi, c’est comme ça ; c’est la vie, c’est le cycle de la nature », confie naturellement Vincent Barré, maraîcher à Loudéac. Installé depuis février 2020 à la Croix du Tiernez, Vincent Barré doit faire face comme tous les agriculteurs et paysans à une période de sécheresse inédite dans la région depuis début juillet. Alors quand il apprend, ce jeudi 11 août au matin, qu’un nouvel arrêté préfectoral, tombé la veille sur la consommation d’eau dans les Côtes-d’Armor, oblige maraîchers et agriculteurs à arroser leurs cultures uniquement entre 20 h le soir et 8 h le matin, il réagit aussitôt. C’est juste du bon sens cet arrêté, confie le paysan. Et ça ne changera rien, puisque nous faisons déjà de l’arrosage au goutte-à-goutte la nuit ».Du paillage pour garder l’humidité au solPourtant, ses cultures étalées sur un hectare de terrain sont mises à mal par les fortes chaleurs et l’absence d’eau, notamment celles qui se trouvent sous serres. Il fait actuellement 50 degrés sous le plastique », confirme-t-il. Actuellement, je consomme 1,5 m3 d’eau par jour quand il m’en faudrait 4 m3 en période de sécheresse ». Quelques plantations sont mises à mal comme ce semis de carottes qui n’est jamais sorti. Je me suis résolu à tout enlever à et à laisser tomber cette parcelle ». Résultat, la terre s’est transformée en poussière et est inexploitable en l’état. La seule solution pour garder l’humidité au sol, c’est de mettre du paillage et du broyat sur la culture, explique Vincent Barré. C’est ce que j’ai fait pour mes pommes de terre ».Pour faire face à la sécheresse, Vincent Barré applique du paillage sur certaines de ses cultures pour garder l’humidité au sol. Le Télégramme/Lionel SamsonInvestir dans une citerne souple de 50 m3 Le paysan loudéacien garde le moral et n’imagine pas des étés aussi sec tous les ans. En 2020 et 2021, il ne faut pas oublier que nous avons eu des étés pluvieux », rappelle-t-il. Néanmoins, il envisage d’investir dans une citerne souple de 50 m3. Cela fait quelques mois que l’on y pense, poursuit-il. Elle permettrait de conserver les surplus de précipitations hivernales pour les périodes de sécheresse en été ». Sécheresse les restrictions en vigueur selon les niveaux d'alerte Chargement en cours Lionel Samson
EMMENER SON ENFANT EN VÉLO, QUELLES SOLUTIONS EN PLUS DU PORTE BÉBÉ ?Du siège-bébé pour vélo au vélo enfant en passant par la remorque et la barre d’apprentissage, nombreuses sont les solutions pour emmener nos progénitures dans nos déplacements cyclistes !Quand on aime le vélo, on a souvent envie de faire vivre sa pratique en la partageant avec son entourage et surtout avec ses enfants ! Qu’il s’agisse d’emmener bébé à la crèche ou de se promener en ville le week-end avec son enfant, voici nos conseils pour faire du vélo avec ses enfants, en toute Porte-bébé vélo, à partir de quel âge ?Le siège-bébé est le système le plus simple, le plus pratique et le plus économique pour transporter son enfant à 9 mois, et quand la musculature du cou de votre bébé lui permet de tenir sa tête droite et qu’il se tient assis. Vous pourrez opter pour cette solution, qui assure confort, sécurité et premières sensations, le vent glissant sur ces jolies petites existe plusieurs types de siège-bébé, à choisir en fonction de l’âge de votre enfant généralement à partir de 9 mois jusqu’à 4 ou 5 ans, de son poids moins de 22kg et du type de porte-bébé avant, parfait quand bébé est petit car on a toujours un œil sur lui !Attention tout de même, il sera limité à 15 kg ce qui le rend peu vous permet de garder l’œil sur votre enfant tout au long de votre déplacement. Muni d’accoudoir et de cale-pied comme tous les sièges-bébé pour vélo, son avantage principal est donc la sécurité d’avoir sous surveillance son enfant. Autre avantage votre enfant pourra ainsi voir la route et vous faire part de ses commentaires !Le porte-bébé arrière fixation cadre ou porte-bagages, plus confortable pour les tous les cas, les sièges-bébés sont conçus pour que votre enfant soit confortablement sécurisé et que sa tête ne bouge pour les petit•es qui ont la sieste facile, et/ou si vous prévoyez quelques longues balades, certains sièges disposent même d'un système pour incliner le dossier. Histoire de ne pas voir la tête de votre petit•e irrésistiblement alourdie par le fixer un siège-bébé sur vélo ?Le siège-bébé pour cadre, qui offre une plage d’évolution de 9 mois à 4-5 ans 22 kg maxi est très pratique dans la mesure où il ne nécessite aucun équipement noix de fixation se monte aisément sur TUBE DE SELLE attention on parle de tube du cadre et non de la TIGE de selle, partie qui relie la selle au cadre et permet une installation/désinstallation très une fois le siège ôté du vélo, seul cette noix pesant peu de poids reste sur votre vélo. Seul petit inconvénient, ce genre de siège n’est pas universel vélos avec suspension centrale, cadres carbone, vélos pliants sont autant de modèles qui ne sont pas porte-bébé vélo choisir ?Il existe plusieurs types de siège-bébé. Ils peuvent être installés à 3 endroits sur votre vélo à l’arrière sur le porte-bagage, à l’arrière directement sur le cadre ou à l’avant entre le guidon et la selle. Régler la ceinture du siège-bébéAvant de partir avec votre vélo de ville, vérifier que votre bambin soit bien attaché, et que ses pieds soient maintenus par les cales prévues à cet savoir si la ceinture est bien réglée ? Bébé ne doit pas bouger d’avant en arrière, sans pour autant être arrive, vous pourrez toujours compter sur lui pour vous avertir en cas d’inconfort ! Enfin, ajustez bien son casque et en route !Enfin le siège-bébé pour porte-bagage est destiné aux personnes possédant un vélo équipé d’un porte-bagages. Ses restrictions de taille et de poids sont les mêmes que son homologue sur cadre de 9 mois à 22 est double on peut utiliser son porte-bagages de façon très classique », l’utiliser pour transporter à vélo via des sacoches ou un panier et étendre donc son usage au transport de votre Porte-bébé vélo ou remorque ?Les remorques enfants pour vélo présentent l’avantage de pouvoir accueillir 2 enfants, de 9 mois à 5 ans, à condition que le poids total ne dépasse pas 25 pour les longues randonnées » en campagne, la remorque est un peu moins pratique en ville elle rallonge le gabarit du vélo et dépasse de chaque donc si vous vous engagez dans un passage exigu que la remorque passe bien elle aussi !En revanche le confort y est bien plus présent siège matelassé, protections contre la pluie et le vent, rangements pour y mettre le pic-nic, les couches, les peluches… Bref tout le nécessaire d’un enfant en bas-âge !Certaines remorques possèdent même une attache Isofix » pour pouvoir y fixer un siège-bébé pour voiture et garantir une sécurité parlant de sécurité, il est important de vérifier lors de l’achat que la remorque réponde bien à la nouvelle norme européenne EN15918. Résistance du châssis, anti-coincement de doigt, maintien de l’enfant sur son siège en cas de retournement, distance de 5 cm minimum entre la tête de l’enfant et la coque en cas de retournement… sont autant de critères qui doivent être approuvés par les tests remorques de vélos offrent un arceau permettant de l’utiliser sans vélo en mode poussette ». Attention toutefois, il ne s’agit pas d’une véritable poussette, la remorque restant beaucoup plus large et lourde. A conseiller donc pour un besoin occasionnel et de courte BARRE ADAPTATRICELa barre adaptatrice est un système permettant de remorquer » un vélo enfant en l’attelant à un vélo roue avant soulevée et la direction bloquée, vous pourrez ainsi vous promener à vélo en toute de ce genre de système est que vous pouvez passer du mode attaché » au mode détaché » en quelques secondes, idéal donc pour l’apprentissage de l’ avantage également l’extension d’usage. La jeune maman pourra ainsi emmener le vélo de son petit jusqu’à l’école puis revenir en mode détaché » pour le plus grand bonheur de la famille !Ce système est compatible pour les vélos de 16 à 20 pouces soit de 105 à 135 en vélo en ville avec un enfantSi votre enfant maîtrise parfaitement son vélo et qu’il désire vous accompagner pendant vos sorties, profitez-en pour passer ce moment avec lui ! Rappelez-lui les règles à suivre avant de partir il doit rester derrière vous, s’arrêter aux feux rouges, bien indiquer avec son bras quand il souhaite tourner…Pour les premiers trajets en ville, il est plus sécurisant de circuler à trois, avec deux adultes et l’enfant au centre. Si tout se passe bien, n’hésitez pas à l’encourager et à lui montrer que vous avez entièrement confiance en les enfants sans dramatiser est la règle d’or pour qu’ils deviennent des cyclistes courtois et enthousiastes !DÈS 6 ANS, VOUS POUVEZ AUSSI APPRENDRE À VOTRE ENFANTÀ FAIRE DU VÉLO EN VILLEEt si vous remplaciez les trajets en voiture par des moments ludiques en famille ? Votre enfant maîtrise son vélo. C’est peut-être le moment de lui apprendre à circuler en ville ;- L'application de vos plus belles baladesEmmenez votre enfant sur les plus belles balades à proximité de chez vous grâce à l'application gratuite Decathlon Outdoor. Ne vous souciez plus de rien. Lancez le guidage et profitez avec votre enfant, on s'occupe de tout, même sans ENFANTS ET LE VÉLO, ENCORE PLUS DE CONSEILS PAR ICI
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