LEPETIT DRESSEUR DE NOEL. adaptĂ© d'un texte d'Anne Lilliac. TABLEAU n° 1 : prĂ©sentation Personnages: le dresseur, 4 chiens, des villageois DĂ©cor: un village. NARRATEUR: Il y a longtemps, trĂšs longtemps, dans un temps que mĂȘme les pĂšres de nos pĂšres ne peuvent se rappeler, vivait un petit dresseur de chiens qui n'avait pour vivre que ses animaux et son talent.
Quand mĂȘme, ils auraient pu me filer le chĂąteau de malĂ©fique. Ça aurait Ă©tĂ© ultra stylĂ©. Genre, j’aurais Ă©tĂ© moi et en plus j’aurais eu un putain de chĂąteau de ouf. Mais bon, j’imagine qu’y z’étaient pas proprios, et du coup ça la fout mal. D’ici Ă  c’que l’autre connasse se pointe en dragon, j’en connais qui serait en pls, si t’as compris la mon bled, c’était Havrevas, un truc vite fait bien, un peu marĂ©cageux de ce que j’avais vu en m’y promenant mais ça c’était pas grave. Y’avait un village lĂ  d’dans, donc techniquement ça me faisait mĂȘme des gens et tout. Bah, allez, j’te cache pas que j’étais quand mĂȘme super content !Mais voilĂ , c’était pas gratuit, fallait que j’accomplisse un petit job, Ă  savoir buter trois sorciĂšres qui foutaient la merde et qui terrorisaient mes habitants Ă  moi ! J’avais aucune foutu idĂ©e d’oĂč les trouver, j’avais aucune idĂ©e de ce qu’elles Ă©taient capables de faire, mais
 bah tu prends un mec balĂšze, genre Jecht. Il est fort et tout, il te dĂ©boite qui tu veux, genre Hercule mis Ă  part j’l’ai jamais vu perdre. Mais moi, sans me la pĂ©ter j’suis au dessus. J’écrase n’importe qui, j’suis une c’est pas trois connasses aux chicots pourris qui vont venir cramer mon bled !Donc j’ai fait le tour des habitants, dĂ©jĂ  pour me prĂ©senter et pour chopper des renseignements sur elles. Donc c’était trois soeurs. Y’en a une qui maniait les Ă©lĂ©ments, un truc un peu trop bateau de nos jours j’trouve. Y’a plein de mages qui ont inventĂ© des trucs. Une fois j’ai mĂȘme vu un mec faire de la magie de chocolat s’teuplaĂźt. Donc ouais, le feu, la glace et truc je trouve que c’est un peu has been. Utile, mais has deuxiĂšme, la plus vieille, elle c’était un peu une mage de la peste, fin c’est comme ça qu’ils me l’ont dĂ©finie. Genre, elle peut faire pourrir ta peau, elle invoque des cadavres, c’est un peu la gothique du groupe si j’ai bien compris. Avec ça, c’est sĂ»r tu choppes une gastro de tout les diables, j’crois que c’est celle que je prĂ©fĂšre le l’autre, boh Ă©coute, ça avait l’air d’ĂȘtre celle qui les faisait plus flipper mais j’suis pas convaincu. Mage du sang tout ça, tout ça
 ParaĂźt qu’elle se dĂ©coupe la main ou les bras pour ĂȘtre plus forte, j’ai jamais rien entendu d’aussi con. Si elle se blesse ça m’arrange. Elle va me cracher tout son sang a la gueule, elle va faire une crise de
 t’sais quand t’es tout blanc lĂ , pis j’aurais plus qu’à la petite particularitĂ©, c’était qu’elles habitaient dans les bois derriĂšre le village. Elles venaient, bah les faire flipper, piller les tombes pour j’sais pas quoi branler avec les ossements, leur extorquer des vivres. Et du coup quand j’entends ça, j’jette un oeil vers le tout petit bout de chĂąteau du sanctus qu’on voit. Quand mĂȘme, j’sais pas si j’dois les plaindre d’ĂȘtre laissĂ©s pour compte ou si je dois me dire que le sanctum est tellement dĂ©bordĂ© qu’ils ont pas le temps. Chais j’ai mes renseignements, et comme j’suis motivĂ©, j’me casse du village en faisant la promesse que ce soir, ils seraient tranquilles. Les mecs Ă©taient contents, mais ils me regardaient un peu comme si c’était la derniĂšre fois qu’on se voyait. Ils allaient apprendre qu’ils avaient LE meilleur choix possible pour les sortir de j’taille ma route Ă  travers la forĂȘt. J’marche p’tĂȘte une bonne demie heure jusqu’à trouver une cabane toute moche, mais genre a peine entretenue. Y’a quelqu’un lĂ  d’dans, et Ă  mon avis c’est pas le facteur. J’m’approche, sans vraiment tenter d’ĂȘtre discret, puis je frappe Ă  la porte une main dans la n’suis pas lĂ  ! qu’elle me rĂ©pond avec tout le dĂ©dain possible pour une seule la police, madame. On aimerait vous poser deux trois te prĂ©viens que si t’es toujours sur le pas de ma porte quand je l’ouvre, je te rĂ©duis en cendres comme tout ceux avant Ok, ça pas qu’elle vienne m’ouvrir, j’mets mon meilleur kick dans la porte et j’ai la jambe qui passe a travers. Ça c’est chiant, alors j’la retire et j’dĂ©fonce tout le reste du bois vermoulu que j’peux pour me faire un passage. La sorciĂšre me regarde, l’air mauvais. Le village t’envoie, hein. Nan, en fait, c’est moi qui m’envoie tout seul. Maintenant c’est mon village, donc vous allez vous tirer toutes les trois, oĂč j’vous un insolent. Ces terres sont Ă  nous !Et elle me lance une boule de feu, genre comme ça, au calme sans mĂȘme incanter quoi que ce soit. Ça c’est un peu chaud. Parce que le truc que je prĂ©fĂšre chez les mages, c’est que le temps qu’ils prĂ©parent leur sort, t’as le temps de leur pĂ©ter toutes les dents. LĂ , non. J’fais un flip, un peu au dernier moment pour l’éviter puis j’fonce dessus. Sauf que bah, j’me prends trois pics de glace dans le bras, j’lĂąche mon arme, pas parce que j’ai mal mais parce que j’suis surpris de m’ĂȘtre fait baiser comme ça. Sauf que j’suis une lĂ©gende j’t’ai dit. Donc je bande mon muscle d’un coup et les pics de glace une feinte, genre j’vais la taper Ă  gauche, en fait j’la tape Ă  droite et j’y mets une ou deux patates avant qu’elle utilise un sort de vent pour se projeter en arriĂšre. L’info est tombĂ©e, contre moi, elle a aucune chance au corps Ă  corps. Reste Ă  voir comment elle va se dĂ©merder pour me tenir Ă  mon arme a moi, et j’m’apprĂȘte Ă  foncer. Elle se protĂšge d’un bouclier de roche au dernier moment ce qui fait que j’éclate sa protection mais pas sa gueule, et me renvoie en arriĂšre avec un sort de vent super vĂ©nĂšre. J’suis rebalancĂ© vers la baraque qui elle mĂȘme commence Ă  se faire souffler. T’as une planche qui se dĂ©tache, puis une autre, la charpente qui s’soulĂšve, c’qu’est pas de bol puisque c’est Ă  ça que j’me retiens. Puis j’ai une goutte de feu qui tombe Ă  cĂŽtĂ© de moi, une autre, et du coup j’regarde d’oĂč ça ouais. Bah t’avais une boule de feu qui aspirait la baraque dans le ciel, et qui te pleurait ça et lĂ  du feu sur la gueule pour rien arranger. Donc, la cabane, elle est en bois, hein, c’est Ă  dire que quand les morceaux arrivaient dans la boule de feu, laisse tomber y’en avait plus. Genre, p’tĂȘte de la cendre, mais c’était si mince que de lĂ  oĂč j’étais je voyais rien. La charpente craque, s’envole, et lĂ  j’ai plus rien qui me retient. J’me fais aspirer, et j’tente une charge en plein air pour me dĂ©gager de lĂ , mais j’ai pas assez de patate. J’ai l’impression de charger au ralenti, puis quand l’impulsion est finie j’me retrouve dans la mĂȘme merde que cinq secondes plus sorciĂšre est dĂ©ter, elle. Je la vois crĂ©er quatre gigantesques Ă©toiles de glace et me les envoyer sur la gueule. Avec des glissades, je tente de les Ă©viter, ça marche pour les deux premiĂšres, mais j’ai pas le temps de tenter les deux autres parce que derriĂšre moi ça explose. Les Ă©lĂ©ments contraires, ou j’sais pas. Mais l’aspiration se coupe, j’me casse la gueule, et en plus je suis projetĂ© depuis le centre de l’explosion, c’qui m’fait traverser deux dans un tapis de feuilles mortes. Bilan pendant qu’j’me redresse. Si je reste trop loin, c’est la fĂȘte Ă  mon cul, si j’reste trop prĂšs, j’me fais expulser. Solution ? La mi-distance ? P’tĂȘte. J’commence Ă  tourner autour d’elle avec une distance de sĂ©curitĂ©. J’tente un lancer de keyblade, mais c’est dĂ©viĂ© par du vent. J’tente un rush, mais elle dresse un mur de roche devant moi, mur que je m’emmerde mĂȘme pas a escalader si c’est pour me faire dĂ©gager une fois arrivĂ© en haut. J’rĂ©flĂ©chis. Au pire, j’invoque Bahamut, mais du coup j’suis pas sĂ»r qu’y m’reste beaucoup de territoire aprĂšs ça. Donc t’oublies. La Divine ComĂ©die, ça fait chier aussi
 Ou alors, j’y vais tellement vite qu’e’m voit pas venir. J’ encore plus avec un sort de cĂ©lĂ©ritĂ©. Puis j’cours vers elle, je change de cap, j’reviens, bref j’vais dans tout les sens pour pas qu’elle arrive Ă  capter ce que je fous, et au bout d’un moment j’la traverse en lui mettant un gros pain dans la gueule. J’reviens dans l’autre sens pour lui Ă©clater le bide, un autre pour une jambe et le dernier re la gueule parce qu’elle me saoule. Elle titube, et j’fonce une derniĂšre fois keyblade en main pour la lui planter dans le tu m’auras bien fait chier, quand mĂȘme. Tes soeurs elles sont reloues comme ça aussi, ou t’es au max ?Elle me rĂ©pond pas, elle est plutĂŽt occupĂ© Ă  me fixer avec des yeux Ă©normes, et Ă  baver du sang. Finalement, j’embrase ma keyblade parce que les sorciĂšres faut les cramer, puis j’la retire. Elle tombe au sol, dans les feuilles par terre, et j’regarde c’qu’y reste de la baraque, Ă  savoir, trois murs et p’tĂȘte deux chaises. J’me mets Ă  sourire. C’est que j’aurais pu ĂȘtre rouillĂ© Ă  force de taper sur personne moi. Ça
 fait du bien ! LEPDF en entier est Ă  tĂ©lĂ©charger lĂ  : Noel sous les Ă©toiles. Le tout avec l’accord de l’auteure, de l’illustratrice et des Ă©ditions Milan Presse que je remercie chaleureusement. Leurs
Forum catholique l'Imitation de JĂ©sus-ChristBienvenue sur le Forum catholique l'Imitation de JĂ©sus-Christ! Ce forum est un lieu d'Ă©changes dĂ©diĂ© Ă  l'approfondissement de la foi catholique, afin de toujours mieux connaĂźtre, aimer et servir JĂ©sus-Christ. On peut y partager des tĂ©moignages personnels, proposer des mĂ©ditations, se questionner sur la Bible et les diffĂ©rents enseignements de l'Église catholique, demander et apporter de l'aide dans le cheminement de l'Ăąme vers Dieu, le forum, c’est rapide et facile
Albane 15 ans, rĂȘve de les rĂ©unifier. Elle parvient Ă  pĂ©nĂ©trer en Ostrasie et y rejoint Alpin, pour partir avec lui en quĂȘte du chemin des Ă©toiles. Bien des dangers les attendent mais ils peuvent compter sur leurs amis dans les deux sociĂ©tĂ©s. Un roman dystopique qui pose des questions fondamentales sur l'avenir de notre monde.
EPIPHANIE Nous Ă©tions un petit nombre mercredi pour fĂȘter l' Epiphanie, mais nous avons vĂ©cu de grandes choses! AprĂšs s'ĂȘtre rappelĂ© la fĂȘte de NoĂ«l, les cadeaux reçus et offerts comme autant de signe d'amour, nous avons regardĂ© en projection le rĂ©cit des mages (d'aprĂšs la Bible ) venus honorer l'enfant JĂ©sus

On Ă©crit sur les murs la force de nos rĂȘves ». C'est sur ce thĂšme de chanson Ă©crite pour DĂ©mis Roussos que les enfants de la paroisse ont

Vidéosde Noël >>> L'annonce >>> Les bergers >>> C'est Noël >>> la vraie histoire de Noël >>> Chants de Noël >>> Dessin animé >>> Les Titounis >>> L'apprenti pÚre Noël. Célé Noël 2020 >>> album. Le chemin des étoiles >>> voir. La parabole des talents >>> voir écouter. Une histoire de ballons >>> voir . Parents et enfant(s
dela terre au ciel. Prirent le chemin. menant au village. jusqu'Ă  l'Ă©talage. d'un grand magasin. LĂ , ils se couvrirent. de tout ce qui brille : boules et bougies, guirlandes pour luire. et s'en retournĂšrent. la main dans la main. par le beau chemin. de l'Ă©toile claire Jusqusqu'Ă  la forĂȘt. oĂč minuit sonnait, car c'Ă©tait NoĂ«l. de la
Unconte de NoĂ«l Grandes vacances. La premiĂšre poudrerie de l’hiver Ă©tait arrivĂ©e, papillonnante et lĂ©gĂšre, par une nuit glacĂ©e de dĂ©cembre. Elle s’était posĂ©e sur la forĂȘt en toute discrĂ©tion, sans rĂ©veiller personne. Au matin, lorsque mes frĂšres avaient aperçu les mille paillettes que le soleil levant allumait sur la neige, ils avaient hurlĂ© de joie et entamĂ© une danse
contede la balançoire. PĂȘcheurs d'Ă©toiles . ou le NoĂ«l de « Tio GrĂ©gorio » Je dĂ©die ce conte Ă  ma mĂšre qui passa clandestinement la frontiĂšre d'Andorre un 28 novembre dans la neige, Ă  pied , pour se rĂ©fugier en France.
Auvillage du PĂšre NoĂ«l, la fĂȘte est au rendez-vous avec cette nappe brodĂ©e au point de croix les rues sont dĂ©corĂ©es de sapins et les Ă©toiles scintillent.
Desguirlande d’étoiles portant le nom de chaque enfant se sont accrochĂ©es aux trois grandes Ă©toiles pour devenir des Ă©toiles filantes. Elles ont formĂ© le chemin des Ă©toiles qui
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