5 Quelles politiques Ă©conomiques dans le cadre europĂ©en ? - ConnaĂźtre les grandes caractĂ©ristiques de l’intĂ©gration europĂ©enne (marchĂ© unique et zone euro) ; comprendre les effets du marchĂ© unique sur la croissance. - Comprendre les objectifs, les modalitĂ©s et les limites de la politique europĂ©enne de la concurrence.
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\n\n\nquelles politiques économiques dans le cadre européen dissertation
SudOuest europĂ©en. Les sports d’hiver dans les PyrĂ©nĂ©es. À la croisĂ©e des enjeux politiques, Ă©conomiques et environnementaux (du dĂ©but xxe Ă  nos jours) Steve Hagimont, Vincent VlĂšs, Jean-Michel Minovez. Sud-Ouest europĂ©en. Quelle place pour le tourisme dans la planification spatiale des territoires de montagne ? EnquĂȘte au sein de
Accueil > Notions > Politique monĂ©taire Notion de SES DerniĂšre mise Ă  jour 26/09/2021LexiqueLa politique monĂ©taire est l'ensemble des mesures qui sont destinĂ©es Ă  agir sur les conditions du financement de l' politique monĂ©taire est l'ensemble des mesures qui sont destinĂ©es Ă  agir sur les conditions du financement de l'Ă©conomie. Qu'est-ce que la politique monĂ©taire ? La politique monĂ©taire est l'ensemble des mesures qui sont destinĂ©es Ă  agir sur les conditions du financement de l'Ă©conomie quand on s'interroge sur le "financement" de quelque chose, c'est que l'on se demande comment l'on va trouver l'argent nĂ©cessaire Ă  l'achat de ce quelque chose. Pour l'Ă©conomie française, se poser la question de son financement, c'est se demander comment les agents Ă  besoin de financement, ceux qui dĂ©pensent, pour l'investissement, par exemple, trouvent les ressources financiĂšres nĂ©cessaires. Qui la met en oeuvre ? Elle est mise en oeuvre par la Banque centrale du pays. Pendant longtemps en France, la Banque de France a Ă©tĂ© sous l'autoritĂ© directe du gouvernement mais la construction europĂ©enne a imposĂ© Ă  tous les pays membres de rendre leur banque centrale indĂ©pendante, ce qui a donc Ă©tĂ© fait aussi en France. Depuis la mise en oeuvre de l'euro 1er janvier 2000, c'est la banque centrale europĂ©enne la BCE qui dĂ©cide les mesures de politique monĂ©taire et qui les met en oeuvre en utilisant les banques centrales nationales comme relais. La Banque de France n'a donc plus aujourd'hui de pouvoirs particuliers. Et la France, comme les autres pays de la zone euro, ne peut plus mener de politique monĂ©taire autonome. Comment peut-on agir sur le financement de l'Ă©conomie ? La Banque centrale peut agir sur les taux d'intĂ©rĂȘt Le principe on sait que si le taux d'intĂ©rĂȘt s'Ă©lĂšve, le coĂ»t du crĂ©dit augmente et, en principe, les agents Ă©conomiques devraient moins emprunter puisque c'est plus cher. Le rĂ©sultat escomptĂ© est donc de freiner la crĂ©ation monĂ©taire de la part des banques quand elles accordent des crĂ©dits et de freiner la croissance de la demande consommation et investissement. Au total, cette politique doit freiner l'inflation et ralentir la croissance Ă©conomique. On peut faire le raisonnement inverse pour une baisse du taux d'intĂ©rĂȘt. Comment agir sur le taux d'intĂ©rĂȘt ? La Banque centrale peut intervenir directement sur le marchĂ© monĂ©taire open market en offrant ou en demandant des capitaux ce qui agit directement sur le taux d'intĂ©rĂȘt. Le raisonnement est le suivant si la Banque centrale met en vente des titres sur le marchĂ© monĂ©taire, elle "pompe" des liquiditĂ©s sur le marchĂ©, ces liquiditĂ©s deviennent donc plus rares et, forcĂ©ment, plus chĂšres, ce qui signifie que le taux d'intĂ©rĂȘt s'Ă©lĂšve. La Banque centrale peut aussi manipuler les taux d'intĂ©rĂȘt directeurs, c'est-Ă  -dire sur les prĂȘts qu'elle consent aux banques en effet, parfois, les banques ont besoin rapidement d'argent et l'empruntent Ă  la Banque centrale Ă  un taux connu d'avance ; cet emprunt leur coĂ»te donc de l'argent et, comme les banques cherchent Ă  rĂ©aliser des profits, elles vont tenter de faire supporter ce coĂ»t par les agents qui leur empruntent de l'argent ; pour cela, elles vont fixer un taux d'intĂ©rĂȘt supĂ©rieur Ă  celui qu'elles devront payer Ă  la Banque centrales. Si la Banque centrale Ă©lĂšve son taux d'intĂ©rĂȘt, les banques commerciales vont elles-mĂȘmes Ă©lever le leur pour qu'il reste supĂ©rieur Ă  celui de la Banque centrale de maniĂšre Ă  ce que les banques maintiennent leur retabilitĂ©, mĂȘme si elles sont obligĂ©es d'emprunter Ă  la Banque centrale. Donc en agissant sur son propre taux d'intĂ©rĂȘt, la banque centrale, indirectement, agit sur tous les autres taux d'intĂ©rĂȘt d'oĂč l'appellation "taux directeurs".... EnjeuxLe problĂšme est de savoir quel objectif on assigne Ă  la politique monĂ©taire. Il y a sur ce point deux conceptions qui s'affrontent. Pour les uns, dont les keynĂ©siens, la politique monĂ©taire peut ĂȘtre utilisĂ©e dans un objectif de rĂ©gulation conjoncturelle macro-Ă©conomique, c'est-Ă  -dire qu'elle peut agir sur la production et l'emploi. Ainsi, par exemple, quand le chĂŽmage est Ă©levĂ© du fait d'une insuffisance de la demande, on doit abaisser le taux d'intĂ©rĂȘt de maniĂšre Ă  stimuler le demande les mĂ©nages vont plus emprunter, par exemple pour acheter un mogement, puisque cela coĂ»tera moins cher, et les entreprises feront la mĂȘme chose pour financer leurs achats de biens d'Ă©quipement. Dans les deux cas, cela contribue Ă  augmenter la demande, donc la production et l'emploi. Pour les autres, les monĂ©taristes par exemple, la politique monĂ©taire ne peut avoir qu'un objectif, c'est celui de la stabilitĂ© des prix pour ce courant d'analyse, l'inflation a des causes uniquement monĂ©taires on crĂ©e trop de monnaie et la politique monĂ©taire doit donc seulement limiter strictement la crĂ©ation monĂ©taire pour qu'elle ne gĂ©nĂšre pas d'inflation. IndicateursTendancesJusqu'Ă  la fin des annĂ©es 1970, la politique monĂ©taire a Ă©tĂ© trĂšs gĂ©nĂ©ralement utilisĂ©e comme un instrument de rĂ©gulation conjoncturelle, elle participait donc Ă  "la relance" quand c'Ă©tait nĂ©cessaire, Ă  "la rigueur" autrement. Depuis le dĂ©but des annĂ©es 1980, les Banques centrales ont de plus en plus souvent obtenu leur indĂ©pendance et ont menĂ© des politiques monĂ©taires d'inspiration libĂ©rale, visant pour l'essentiel Ă  la stabilitĂ© des prix. Avec la crise financiĂšre, les Banques centrales surveillent de maniĂšre plus rigoureuse les banques et, de maniĂšre plus gĂ©nĂ©rale, la stabilitĂ© du systĂšme bancaire voire du systĂšme financier pour Ă©viter l'apparition de "bulles financiĂšres".Erreurs FrĂ©quentesConfondre politique monĂ©taire et politique monĂ©tariste [voir la notion politique monĂ©tariste] serait une grave erreur une politique monĂ©tariste est une politique monĂ©taire prĂ©cise, d'inspiration libĂ©rale, qui consiste en un ensemble de mesures visant Ă  contrĂŽler strictement la masse monĂ©taire pour Ă©viter l'inflation.
Lapolitique monétaire : quelles mutations depuis la crise financiÚre ?, conférence Citéco, 2016 Efficacité des politiques monétaires non conventionnelles, conférence/débat, JECO 2017 Liens utiles : Rapports annuels de la Banque de France Rapports annuels de la Banque centrale européenne
Les politiques Ă©conomiques sont au cƓur du programme de la spĂ©cialitĂ© sciences Ă©conomiques et sociales. Retrouve une proposition de sujet et de plan dans cet article pour ĂȘtre fin prĂȘt de jour-J ! Le prĂ©sident de la RĂ©publique a dĂ©taillĂ© le 9 dĂ©cembre 2021, le programme de la prĂ©sidence française de l’UE, qui intervient Ă  partir du 1er janvier. Il insista sur l’intĂ©rĂȘt d’un approfondissement des politiques Ă©conomiques communes au sein de l’UE. Les politiques Ă©conomiques regroupent l’ensemble des dĂ©cisions prises par les pouvoirs publics en vue d’atteindre des objectifs Ă©conomiques dĂ©signĂ©s, en mobilisant divers instruments rĂšglementaires, monĂ©taires ou budgĂ©taires. Au sein de l’UE nous distinguons la politique budgĂ©taire qui est propre au pays, de la politique monĂ©taire qui est fixĂ© par la BCE pour les pays membres de la zone euro. La politique budgĂ©taire est l’ensemble des mesures ayant des consĂ©quences sur les ressources ou les dĂ©penses inscrites au budget de l’État et visant directement Ă  agir sur la conjoncture Ă©conomique. DerniĂšrement de plus en plus d’économistes mettent l’accent sur l’intĂ©rĂȘt d’instaurer une harmonisation de ce type de politiques Ă©galement dans le cadre europĂ©en. En ce qui concerne la politique monĂ©taire, celle-ci reprĂ©sente l’ensemble des moyens mis en Ɠuvre par un État ou une autoritĂ© monĂ©taire pour agir sur l’activitĂ© Ă©conomique par la rĂ©gulation de sa monnaie. L’UE, instaurĂ© par le TraitĂ© de Rome en 1957, a renforcĂ© l’harmonisation et la sĂ©lection de ses politiques Ă©conomiques en 2009 avec le traitĂ© de Lisbonne qui encadre le fonctionnement de l’UE et prĂ©cise les compĂ©tences de l’UE et de ses États membres. L’Union europĂ©enne s’est Ă©galement dotĂ©e d’autoritĂ©s chargĂ©es de mener une politique de la concurrence. La politique de la concurrence dĂ©signe l’ensemble des mesures prises par les pouvoirs publics pour assurer une concurrence libre, loyale et non faussĂ©e » sur tous les marchĂ©s. Quelles politiques Ă©conomiques dans le cadre europĂ©en ? Pour rĂ©viser ton bac, consulte Ă©galement SES Comment expliquer les crises financiĂšres et rĂ©guler le systĂšme financier ? Des politiques macroĂ©conomiques A . Politique monĂ©taire unique et politiques budgĂ©taires nationales La discipline budgĂ©taire au cƓur de la construction europĂ©enne Rappeler les fondements thĂ©oriques et institutionnels Rappeler les rĂšgles, les raisons de la mise en place de ces rĂšgles et le renforcement de ces rĂšgles au fur et Ă  mesure des traitĂ©s. IndĂ©pendance de la BCE – mandat unique de stabilitĂ© des prix – ciblage d’inflation Il n’existe pas de rĂ©elle coordination entre les politiques budgĂ©taires des diffĂ©rents pays la seule coordination est en effet reprĂ©sentĂ©e par les rĂšgles Ă  suivre – le conseil budgĂ©taire europĂ©en ne peut qu’émettre des recommandations aux pays, et pas de coordination entre la politique monĂ©taire unique et les politiques budgĂ©taires nationales. B . Les limites de ces politiques Mandat de la BCE qui ne lui permet pas de mener des politiques monĂ©taires toujours adĂ©quates. Les avancĂ©es n’ont pu ĂȘtre faites qu’en situation d’urgence Des rĂšgles budgĂ©taires qui ne permettent pas des politiques budgĂ©taires nationales efficaces. Ces rĂšgles prĂ©sentent un caractĂšre procyclique – Pas de rĂ©elle incitation Ă  dĂ©gager des excĂ©dents en cas de conjoncture favorable – Le respect des rĂšgles accentue la rĂ©cession lorsque les pays connaissent un ralentissement de la croissance ou une crise La valeur de l’euro La BCE n’a pas de rĂ©elle politique de change. Ce problĂšme de la non utilisation du taux de change comme outil de politique Ă©conomique a Ă©tĂ© posĂ© de façon cruciale lors de la crise, oĂč l’euro s’est apprĂ©ciĂ©, ce qui a contribuĂ© Ă  aggraver la crise dans les pays de la zone euro. On a assistĂ© Ă  un certain changement avec Mario Draghi mĂȘme si l’objectif n’est pas affirmĂ©, le quantitative easing a aussi pour but de dĂ©prĂ©cier l’euro. C . Les solutions pour amĂ©liorer ces politiques Politique monĂ©taire Ă©largir le mandat Ă  la croissance et Ă  la stabilitĂ© financiĂšre politique macroprudentielle qui permettrait Ă  la zone euro de se rapprocher d’une ZMO – objectif d’inflation plus large, ou objectif d’un niveau gĂ©nĂ©ral des prix sur le moyen terme – revenir sur l’indĂ©pendance en terme d’objectif – rĂ©sorber le dĂ©ficit dĂ©mocratique Des rĂšgles budgĂ©taires Ă  repenser Des Ă©conomistes recommandent de substituer aux nombreuses rĂšgles actuelles une rĂšgle simple les dĂ©penses publiques en valeur ne devraient pas croĂźtre plus rapidement que le PIB nominal Ă  long terme et devraient progresser plus lentement dans les pays oĂč la dette est excessive supĂ©rieure Ă  60 %. Une rĂšgle de dĂ©penses publiques intĂšgre la stabilisation contracyclique Ă  la fois parce que les augmentations conjoncturelles des recettes n’ont pas d’incidence sur le plafond des dĂ©penses – entraĂźnant une discipline budgĂ©taire plus rigoureuse que les rĂšgles actuelles en pĂ©riode de croissance – et aussi parce qu’elle ne nĂ©cessite pas de rĂ©duction des dĂ©penses en cas de baisses conjoncturelles des recettes. Un fĂ©dĂ©ralisme budgĂ©taire indispensable D’aprĂšs nombre d’économistes, un rĂ©el budget europĂ©en fĂ©dĂ©ral est une nĂ©cessitĂ© pour une zone monĂ©taire, elle peut ainsi disposer d’un instrument pĂ©renne de stabilisation Ă©conomique, en cas notamment de choc asymĂ©trique. Elle peut ainsi devenir une ZMO. Ainsi, Michel Aglietta propose de mettre en place un vĂ©ritable fĂ©dĂ©ralisme budgĂ©taire. Les banques centrales du Japon, du Royaume-Uni et des États-Unis ont rempli leur mission traditionnelle, avec des taux zĂ©ro et le rachat massif d’obligations souveraines. Mais ce n’est pas le cas pour l’euro qui, du fait de la sĂ©paration entre la Banque centrale europĂ©enne BCE et les États souverains, fonctionne dĂ©sormais comme une monnaie Ă©trangĂšre pour chaque État-membre. La solidaritĂ© europĂ©enne doit donc s’appuyer sur un fĂ©dĂ©ralisme budgĂ©taire avec la mise en place d’un budget europĂ©en commun et sur la mutualisation des dettes publiques. L’adoption d’un systĂšme du type eurobonds est une solution efficace. Pour rĂ©viser ton bac, consulte Ă©galement SES Les sources et les dĂ©fis de la croissance Ă©conomique Des politiques structurelles A . Une politique agricole commune rĂ©guliĂšrement remise en cause La politique agricole commune PAC est la plus ancienne et la plus importante des politiques communes de l’UE plus de 40 % du budget europĂ©en. Créée par le traitĂ© de Rome en 1957, elle a Ă©tĂ© mise en place en 1962. Ses objectifs sont les suivants AccroĂźtre la productivitĂ© de l’agriculture ; Assurer un niveau de vie Ă©quitable Ă  la population agricole ; Stabiliser les marchĂ©s ; Garantir la sĂ©curitĂ© des approvisionnements ; Assurer des prix raisonnables aux consommateurs. B . Pour une meilleure articulation entre politique de la concurrence et politique de l’innovation La Commission europĂ©enne est responsable de la politique de la concurrence. Elle lutte contre les ententes illĂ©gales, les abus de position dominante, contrĂŽle les concentrations et sanctionne les subventions des États qui n’ont pas Ă©tĂ© autorisĂ©es. De plus, elle encourage vivement les gouvernements des pays de l’UE Ă  ouvrir les services d’intĂ©rĂȘt Ă©conomique gĂ©nĂ©ral Ă  la concurrence, tout en veillant Ă  ce qu’ils restent accessibles Ă  tous, mĂȘme dans des zones oĂč ils ne sont pas rentables, afin que les consommateurs puissent bĂ©nĂ©ficier d’une meilleure qualitĂ© et de prix plus Ă©quitables. Ces services sont en particulier l’énergie, les tĂ©lĂ©communications, les transports, l’eau et la poste. Les pays de l’UE peuvent confier des missions de service public Ă  une entreprise, en veillant Ă  ce que les tĂąches confiĂ©es et les droits et compensations financiĂšres accordĂ©s soient compatibles avec les rĂšgles de l’UE sur les aides de l’État. Elle recommande de faire la distinction entre les aspects d’un service qui peuvent ĂȘtre ouverts Ă  la concurrence comme la fourniture d’accĂšs Ă  internet et ceux qui conduisent Ă  un monopole naturel comme les rĂ©seaux cĂąblĂ©s. Pour aller plus loin, en ouverture, il serait pertinent d’évoquer les politiques sociales europĂ©ennes, qui ne sont que trĂšs peu dĂ©veloppĂ©s actuellement mais qui sont l’enjeu principal de l’avenir de l’UE. Tu cherches plus d’infos sur ton orientation ? Des articles sur diffĂ©rents points du programme pour t’aider Ă  dĂ©crocher la meilleure note au bac ? 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LesPolitiques Economiques Européennes I) Les Politiques Monétaires : Les pays de la zone euro sont soumis aux mesures prises par la BCE. Indépendante de tout pouvoir politique depuis le traité de Maastricht la Banque Centrale Européenne a pour fonction premiÚre de maintenir la stabilité des prix.

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SystĂšmede financement gĂ©rĂ© en partenariat avec les autoritĂ©s nationales et rĂ©gionales et qui reprĂ©sente environ 80 % du budget de l’UE. 5 principaux fondssont utilisĂ©s Ă  cet effet, dans le cadre des Fonds structurels et d’investissement europĂ©ens: Fonds europĂ©en de dĂ©veloppement rĂ©gional – dĂ©veloppement rĂ©gional et urbain
Aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale, Winston Churchill suggĂšre la crĂ©ation des États-Unis d'Europe ». Cette idĂ©e, dĂ©jĂ  ancienne, sera concrĂ©tisĂ©e dĂšs 1951 avec la crĂ©ation de la CECA CommunautĂ© EuropĂ©enne du Charbon et de l'Acier et surtout avec le traitĂ© de Rome en 1957. L'idĂ©e qui sous-tend la crĂ©ation de l'Union europĂ©enne est de mettre l'Ă©conomie au service de la paix ; en rapprochant les pays Ă©conomiquement », on les rend interdĂ©pendants et on rĂ©duit, mĂ©caniquement, les chances d'un nouveau conflit. La construction europĂ©enne combine donc une double dimension Ă©conomique et Les effets de l'intĂ©gration europĂ©enne sur la croissance Ă©conomiqueLe premier effet de l'intĂ©gration est simple l'intĂ©gration Ă©conomique et notamment le marchĂ© unique induisent une augmentation de la taille du marchĂ©. L'intĂ©gration a permis la crĂ©ation en 1993 d'un marchĂ© de plus de 500 millions de consommateurs au niveau europĂ©en. La crĂ©ation du marchĂ© unique accentue la concurrence des entreprises en les incitant Ă  rĂ©aliser des gains de productivitĂ© et Ă  investir pour atteindre une taille suffisante permettant de rĂ©aliser des Ă©conomiques d'Ă©chelles. L'augmentation du nombre de clients potentiels les aide Ă  rĂ©duire leurs coĂ»ts et leurs prix. Ces gains en termes de pouvoir d'achat et de compĂ©titivitĂ© sont favorables Ă  la croissance cĂŽtĂ© des consommateurs, l'intĂ©gration Ă©conomique peut donc gĂ©nĂ©rer une baisse des prix, une plus grande diversitĂ© des biens et services proposĂ©s et par consĂ©quent une augmentation de la cours Ă  regarder L'intĂ©gration europĂ©enne et le marchĂ© unique », Les SES en vidĂ©os, sur YouTubeUn cours de SES rĂ©sumant les grandes Ă©tapes de l'intĂ©gration europĂ©enne et la thĂ©orie de l'intĂ©gration Ă©conomique de BĂ©la Balassa zone de libre-Ă©change, union douaniĂšre, marchĂ© commun, union Ă©conomique, union Ă©conomique et monĂ©taire. ConformĂ©ment au programme, la construction europĂ©enne est envisagĂ©e d'un point de vue historique et Ă©conomique. Les effets du marchĂ© unique sur la croissance sont prĂ©cisĂ©s. Un documentaire Ă  regarder Jean Monnet, le pĂšre discret de l'Europe », RĂŒdiger Mörsdorf, 2021Un documentaire de 52 minutes sur la vie et le parcours d'un des pĂšres fondateurs de l'Union europĂ©enne. II. Objectifs, modalitĂ©s et limites de la politique europĂ©enne de la concurrenceL'Union europĂ©enne s'est dotĂ©e, dĂšs 1957, d'autoritĂ©s chargĂ©es de mener une politique de la concurrence. La politique de la concurrence dĂ©signe l'ensemble des mesures prises par les pouvoirs publics pour assurer une concurrence libre, loyale et non faussĂ©e » sur tous les marchĂ©s. Au niveau europĂ©en, la politique de la concurrence est menĂ©e par la Commission europĂ©enne. Elle est chargĂ©e d'appliquer les rĂšgles anti-trusts » en luttant notamment contre les abus de position dominante, les ententes ou cartels d'entreprises et en contrĂŽlant les concentrations d' cours Ă  regarder La politique europĂ©enne de la concurrence », Les SES en vidĂ©os, sur YouTubeUn cours de SES expliquant de maniĂšre trĂšs claire les objectifs, les modalitĂ©s et les limites de la politique de la concurrence au sein de l'Union europĂ©enne. Des rappels sont effectuĂ©s sur les notions de cartels ou ententes, d'abus de position dominante et de concentrations vues en premiĂšre. III. Comment la politique budgĂ©taire et la politique monĂ©taire agissent-elles sur la conjoncture ?La politique budgĂ©taire est une politique Ă©conomique conjoncturelle ayant pour objectif d'agir sur la croissance Ă©conomique Ă  court terme. En utilisant son budget, l'État, par diffĂ©rentes mesures, tente d'influer sur la demande effective la demande anticipĂ©e par les entrepreneurs et donc sur le niveau de production et sur la croissance. Par exemple, lors d'un ralentissement de la croissance Ă©conomique, l'État augmente ses dĂ©penses augmentation des prestations sociales, investissement publics, embauches de fonctionnaires, etc. et/ou rĂ©duit ses recettes baisse d'impĂŽts pour les entreprises et/ou pour les mĂ©nages, etc., injectant ainsi de l'argent dans l'Ă©conomie pour soutenir l'activitĂ© Ă©conomique et relancer la croissance. On parle dans ce cas de politique budgĂ©taire conjoncturelle de relance. La politique monĂ©taire est aujourd'hui du ressort de la Banque Centrale europĂ©enne pour les pays de la zone euro. L'autre levier de la politique conjoncturelle est la politique monĂ©taire. Une politique monĂ©taire vise Ă  agir de maniĂšre plus ou moins directe sur l'abondance du crĂ©dit dans une Ă©conomie. Lors d'un ralentissement de l'activitĂ© Ă©conomique, l'État peut, via la banque centrale, procĂ©der Ă  une rĂ©duction du taux d'intĂ©rĂȘt directeur le taux d'intĂ©rĂȘt fixĂ© par la banque centrale et qui lui sert d'instrument pour mener la politique monĂ©taire qui va entraĂźner une baisse du taux d'intĂ©rĂȘt des crĂ©dits. Le crĂ©dit devenant moins cher dans les banques commerciales, les agents Ă©conomiques seront incitĂ©s Ă  demander davantage de crĂ©dits. En rendant le crĂ©dit moins cher, l'État relance donc la croissance Ă©conomique. On parle donc de politique monĂ©taire conjoncturelle de relance ou de politique monĂ©taire expansionniste. La politique monĂ©taire est aujourd'hui du ressort de la Banque Centrale europĂ©enne pour les pays de la zone Les politiques conjoncturelles au sein de l'Union europĂ©enne des politiques Ă©conomiques contraintesLa construction europĂ©enne a rĂ©duit les possibilitĂ©s de recours Ă  la politique Ă©conomique conjoncturelle d'inspiration keynĂ©sienne. Le recours Ă  la politique budgĂ©taire et notamment Ă  la politique budgĂ©taire de relance est encadrĂ© depuis le traitĂ© d'Amsterdam 1997. Il prĂ©voit en effet l'adoption d'un pacte de stabilitĂ© et de croissance » auquel sont soumis les pays de la zone euro. Ce pacte interdit aux pays membres d'avoir un dĂ©ficit budgĂ©taire dĂ©ficit annuel du budget de l'État supĂ©rieur Ă  3 % de leur PIB et une dette publique somme des dĂ©ficits budgĂ©taires accumulĂ©s annĂ©es aprĂšs annĂ©es supĂ©rieure Ă  60 % de leur PIB. Pour faire simple, les États membres ne peuvent plus laisser filer leur dĂ©ficit et leur dette. La politique budgĂ©taire est donc largement contrainte par les traitĂ©s europĂ©ens mĂȘme si elle reste du ressort de chaque État politique monĂ©taire n'est plus de la compĂ©tence des États de la zone euro, elle a Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©e en 1999 Ă  la Banque centrale europĂ©enne BCE basĂ©e Ă  Francfort. La politique monĂ©taire est donc unique au sein de la zone euro. La BCE est indĂ©pendante des gouvernements des pays de la zone euro et a pour objectif prioritaire la stabilitĂ© des cours Ă  regarderLes politiques conjoncturelles dans la zone euroUn cours de SES sur les politiques conjoncturelles au sein de la zone euro. Les notions de politiques budgĂ©taires de relance et de rigueur et de politiques monĂ©taires sont expliquĂ©es de maniĂšre exhaustive. L'architecture des politiques Ă©conomiques dans la zone euro est rappelĂ©e. Une vidĂ©o Ă  regarder Le mĂ©canisme de surveillance unique », vidĂ©o publiĂ©e par la Banque centrale europĂ©enneV. Les difficultĂ©s soulevĂ©es par l'encadrement des politiques Ă©conomiques conjoncturelles au sein de l'UE dĂ©faut de coordination et chocs asymĂ©triquesLa thĂ©orie Ă©conomique a montrĂ© que la coordination des politiques Ă©conomiques est utile pour en augmenter l'efficacitĂ©. En effet, il serait souhaitable que les États membres coopĂšrent et se coordonnent. Et pourtant, au sein de l'UE, la concertation faisant souvent dĂ©faut, les États choisissent d'essayer de profiter de la relance de leurs partenaires en menant des politiques de rigueur, cela leur permet de bĂ©nĂ©ficier du surcroĂźt d'exportation. Il y a donc bien un dĂ©faut de coordination des politiques Ă©conomiques, dans la mesure oĂč tous les pays sont incitĂ©s Ă  mener des politiques de rigueur. Chacun des États membres de l'UE, privĂ© de la possibilitĂ© de mener une politique de relance d'ampleur, peut rencontrer des difficultĂ©s Ă©conomiques en cas de choc asymĂ©trique. Un choc asymĂ©trique est un Ă©vĂšnement de toute nature qui affecte nĂ©gativement un État membre en particulier. Si un choc asymĂ©trique survient par exemple, une catastrophe Ă©cologique dĂ©truisant une rĂ©gion d'un État membre, l'État membre sera dĂ©sarmĂ© pour rĂ©agir et relancer son n°1Exercice n°2Exercice n°3
4Comment expliquer les crises financiĂšres et rĂ©guler le systĂšme financier? 5 Quelles politiques Ă©conomiques dans le cadre europĂ©en? Sociologie et science politique. 1 Comment est structurĂ©e la sociĂ©tĂ© française actuelle? 2 Quelle est l’action de l’École sur les destins individuels et sur l’évolution de la sociĂ©tĂ©?

Objectifs CaractĂ©riser les conjonctures divergentes des États membres. Expliquer les difficultĂ©s de coordonner des politiques conjoncturelles au sein de l’Union Économique et MonĂ©taire UEM. Points clĂ©s Un choc asymĂ©trique est une modification brutale de l’offre ou de la demande affectant de maniĂšre spĂ©cifique un État mais pas les autres au sein de la zone euro. La politique budgĂ©taire est l’ensemble des mesures ayant des consĂ©quences sur les ressources ou les dĂ©penses inscrites au budget de l'État et visant directement Ă  agir sur la conjoncture Ă©conomique. Au sein de l’UEM, cette politique est contrainte par le pacte de stabilitĂ© et de croissance PSC. La politique monĂ©taire est l'ensemble des mesures qui sont destinĂ©es Ă  agir sur les conditions du financement de l'Ă©conomie. Au sein de l’UEM, elle est menĂ©e par la BCE dont l’objectif de maintenir un taux d’inflation sur la zone infĂ©rieur Ă  2 %. Une politique contra-cyclique consiste Ă  stimuler l’économie lorsque celle-ci tend Ă  ralentir, et Ă  la freiner lorsqu'elle s’emballe. Les pays membres de l’UEM ont tous des conjonctures diffĂ©rentes ce qui rend difficile la coordination des politiques Ă©conomiques et la mise en place d’un policy-mix ». Pour bien comprendre Les politiques conjoncturelles des États sont des politiques de court terme ; elles correspondent aux mesures prises par les autoritĂ©s publiques sur les grands Ă©quilibres » macroĂ©conomiques. 1. Les contraintes de la politique monĂ©taire Avec une monnaie unique et une politique monĂ©taire commune, chacun des pays abandonne son autonomie dans la conduite de sa politique monĂ©taire. Cela devient problĂ©matique lorsqu’un pays connaĂźt une situation Ă©conomique diffĂ©rente de celle des autres pays europĂ©ens, puisque la Banque centrale europĂ©enne BCE agit en fonction de la situation globale de la zone, quelles que soient les consĂ©quences pour le pays. Un choc asymĂ©trique est une modification brutale de l’offre ou de la demande affectant de maniĂšre spĂ©cifique un État mais pas les autres au sein de la zone UE. Prenons une situation oĂč il existe au sein de l'Union europĂ©enne un risque d'inflation et qu’en parallĂšle, dans un des pays de l’Union, ce risque d'inflation est nul alors que la croissance est faible et le chĂŽmage Ă©levĂ©. Le risque d’inflation dans la zone euro pousse la BCE Ă  augmenter les taux d'intĂ©rĂȘt. Or, cela se rĂ©vĂšle nĂ©faste au pays qui connaĂźt dĂ©jĂ  une faible croissance la hausse des taux d'intĂ©rĂȘt rĂ©duit la demande et donc la croissance Ă©conomique. Ainsi, les pays membres ne peuvent pas utiliser leur politique monĂ©taire pour relancer la croissance et l’emploi grĂące Ă  une baisse des taux d’intĂ©rĂȘt en cas de crise. De plus, les pays de la zone euro se sont privĂ©s de l’arme de la dĂ©valuation n’ayant pas de politique de change, ils ne peuvent rĂ©tablir un dĂ©sĂ©quilibre de leur balance courante par une dĂ©prĂ©ciation de la monnaie pour accroĂźtre leurs exportations et/ou diminuer leurs importations. De ce fait, ils ne peuvent pas Ă©quilibrer leur solde extĂ©rieur grĂące Ă  une politique monĂ©taire de relance. 2. Les contraintes de la politique budgĂ©taire La politique budgĂ©taire est l’ensemble des mesures ayant des consĂ©quences sur les ressources ou les dĂ©penses inscrites au budget de l'État et visant directement Ă  agir sur la conjoncture Ă©conomique. Les politiques budgĂ©taires des États membres sont encadrĂ©es par le Pacte de StabilitĂ© et de Croissance PSC. Celui-ci stipule que les États ne peuvent avoir un dĂ©ficit budgĂ©taire Recettes < DĂ©penses supĂ©rieur Ă  3 % du PIB, et ĂȘtre endettĂ©s Ă  plus de 60 % de leur PIB. Ainsi, en cas de crise, il est quasiment impossible de relancer l’économie par une politique de relance. Il se peut que les limites imposĂ©es par le PSC soient considĂ©rĂ©es comme trop extrĂȘmes. Comme une politique monĂ©taire autonome n'est plus possible, le pacte de stabilitĂ© empĂȘcherait de rĂ©pondre efficacement Ă  une forte rĂ©cession, d'autant que le seuil de 3 % n'a pas exactement de justification Ă©conomique. Toutefois, jusqu'Ă  prĂ©sent, ces limites n'ont pas rĂ©ellement Ă©tĂ© appliquĂ©es. De plus, les politiques budgĂ©taires restent nationales et ne sont pas coordonnĂ©es les pays sont tentĂ©s de se faire concurrence en matiĂšre d’impĂŽts et de charges sociales. Par exemple, il n’existe pas de salaire minimum dans tous les pays membres de l’UE 6 pays sur 28 n’en ont pas au dĂ©but de l’annĂ©e 2015 et les Ă©carts d’un pays membre Ă  l’autre peuvent ĂȘtre Ă©levĂ©s ce salaire minimum Ă©tait compris entre 123 € et 1462 € bruts, ce qui correspond Ă  un Ă©cart de salaire de 1 Ă  12 et Ă  un Ă©cart de pouvoir d’achat de 1 Ă  6 Observatoire des inĂ©galitĂ©s, janvier 2011. D'un cĂŽtĂ©, certains pays craignent que l'harmonisation vers les niveaux de protection les plus Ă©levĂ©s se traduisent par un affaiblissement de la compĂ©titivitĂ© des entreprises et donc par des pertes d'emplois et un niveau de chĂŽmage plus Ă©levĂ© encore. De l'autre cĂŽtĂ©, quelques pays aussi craignent que l'harmonisation ne se fasse sur des minimums bas ou sur des moyennes europĂ©ennes » qui porteraient atteinte Ă  leur lĂ©gislation sociale, plus protectrice que celles d'autres pays membres. D'oĂč les rĂ©sistances multiples Ă  l'Ă©tablissement d'un droit social commun Ă©tendu. Face Ă  ces difficultĂ©s, la situation actuelle favorise plutĂŽt la tendance au dumping fiscal et social » des pays attirent des entreprises par des niveaux de fiscalitĂ© et un niveau de protection social faible ce qui est tout-Ă -fait contradictoire avec l’idĂ©e d’Europe sociale. 3. La difficile mise en place d’un policy-mix » Le policy-mix » est dĂ©fini comme l’orientation conjointe des politiques monĂ©taire et budgĂ©taire, Ă  un moment donnĂ© du cycle Ă©conomique. Les politiques monĂ©taires et les politiques budgĂ©taires ne sont pas coordonnĂ©es dans l’UE, donc le policy mix » est impossible puisque la BCE et les gouvernements ne mettent pas au point ensemble le mĂȘme type de politique. Politiques monĂ©taires et budgĂ©taires ne vont pas toujours dans le mĂȘme sens dans la zone euro. Depuis 1999, alors que la politique monĂ©taire a Ă©tĂ© contra-cyclique aussi bien en zone euro qu’aux États-Unis, la RĂ©serve fĂ©dĂ©rale des États-Unis -FED- se serait rĂ©vĂ©lĂ©e plus rĂ©active que la BCE, l’orientation de la politique budgĂ©taire de la zone europĂ©enne apparaĂźt largement pro-cyclique entre 1999 et 2006. AprĂšs la crise de 2007, les États-Unis menaient une politique budgĂ©taire et une politique monĂ©taire contra-cyclique autorisant une croissance plus rapide. Une politique contra-cyclique consiste Ă  stimuler l’économie lorsque celle-ci tend Ă  ralentir, et Ă  la freiner lorsqu'elle s’emballe. DĂšs lors, on peut se demander si la politique monĂ©taire, qui vise principalement Ă  maĂźtriser l’inflation, n’a pas engendrĂ© une faible croissance Ă©conomique. Certains pays, comme la France, ont prĂ©cisĂ©ment connu une faible croissance durant les annĂ©es 2000 Ă  2007 et une faible inflation ils auraient pu bĂ©nĂ©ficier d’une politique monĂ©taire plus souple, mais ce ne fut le cas que jusqu’en 2005. À partir de 2005, la BCE a commencĂ© Ă  augmenter ses taux d’intĂ©rĂȘt l’économie française a alors pĂąti de ce changement de politique monĂ©taire. Dans ce cas, la politique monĂ©taire menĂ©e est en total dĂ©phasage avec la situation interne de ce pays elle a tendance Ă  accentuer les problĂšmes d’inflation. Son caractĂšre pro-cyclique est donc nĂ©faste. Ainsi, si la crĂ©ation d’un marchĂ© et d’une monnaie uniques a eu des effets positifs sur le commerce intĂ©rieur et le pouvoir d’achat des europĂ©ens. Les contraintes liĂ©es aux diffĂ©rences conjoncturelles des États membres empĂȘchent une bonne coordination des politiques Ă©conomiques, qui s’avĂšrent alors inefficaces. Vous avez dĂ©jĂ  mis une note Ă  ce cours. 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Quellespolitiques Ă©conomiques dans le cadre europĂ©en ? Comment est structurĂ©e la sociĂ©tĂ© française actuelle ? Quelle est l’action de l’École sur les destins individuels et sur l’évolution de la sociĂ©tĂ© ? Quels sont les caractĂ©ristiques contemporaines et les facteurs de la mobilitĂ© sociale ? Quelles mutations du travail et de l’emploi ? Comment expliquer
Les politiques structurelles ont une action Ă  long terme. Elles modifient en profondeur les structures de l’économie. Elles sont souvent qualifiĂ©es par le secteur ou le domaine sur lesquelles elles portent exemple politique industrielle. Une politique conjoncturelle est une politique Ă  court-terme, son action est donc limitĂ©e dans le temps. C’est l’ensemble des interventions de l’Etat susceptibles de modifier Ă  court-terme l’évolution de l’économie Les politiques Ă©conomiques conjoncturelles Jusqu’aux annĂ©es 1930, la plupart des Ă©conomistes imputaient les crises aux imperfections des marchĂ©s concrets et recommandaient d’attendre que ces mĂ©canismes ramĂšnent la stabilitĂ© et le plein emploi. Cependant, la crise de 1929 a remis en cause la capacitĂ© auto-rĂ©gulatrice du marchĂ©. John Maynard Keynes a alors proposĂ© une conception diffĂ©rente du fonctionnement de l’économie. Selon lui alors, seule une intervention des pouvoirs publics augmentant la demande adressĂ©e aux entreprises peut rĂ©tablir la situation. S’appuyant sur cette analyse, les diffĂ©rents gouvernements ont alors engagĂ© des politiques conjoncturelles actives aprĂšs la Seconde guerre mondiale. De nombreux plans de relance ont Ă©galement Ă©tĂ© mis en oeuvre aprĂšs la crise de 2008, pour soutenir, momentanĂ©ment, la consommation et l’investissement, le temps que l’économie reparte ». La fonction de la politique Ă©conomique est donc de corriger les dĂ©sĂ©quilibres ou les dysfonctionnements de l’économie. Les principaux objectifs de l’Etat sont ceux proposĂ©s par Nicolas Kaldor et constituent le carrĂ© magique » une croissance Ă©conomique maximale, le taux de chĂŽmage le plus faible, la stabilitĂ© des prix maĂźtrise de l’inflation et la recherche de l’équilibre extĂ©rieur. Afin d’amĂ©liorer ces indicateurs, l’Etat peut mettre en Ɠuvre une politique de rĂ©gulation conjoncturelle. Les politiques conjoncturelles agissent principalement sur la demande consommation & investissement, les pouvoirs publics peuvent alors choisir de mettre en place une politique conjoncturelle visant Ă  stimuler l’activitĂ© Ă©conomique pour lutter contre le chĂŽmage et la contraction du PIB politique de relance ou de freiner l’activitĂ© Ă©conomique pour lutter contre le dĂ©ficit public ou rĂ©duire l’inflation politique de rigueur. Ils disposent pour cela de deux outils – la politique budgĂ©taire consiste Ă  faire varier le solde du budget de l’Etat. Keynes a montrĂ© qu’un dĂ©ficit budgĂ©taire agissait favorablement par l’effet multiplicateur des dĂ©penses sur l’activitĂ©. – la politique monĂ©taire influence l’investissement et l’épargne en agissant, via les taux d’intĂ©rĂȘt, sur les conditions de crĂ©dit. Elle peut elle aussi ĂȘtre utilisĂ©e pour relancer l’économie ou la ralentir, la politique budgĂ©taire L’Etat utilise son budget recettes / dĂ©penses comme instrument de rĂ©gulation. L’Etat peut agir sur le niveau des dĂ©penses d’investissement toute augmentation de l’investissement public est supposĂ©e entraĂźner une augmentation plus forte du revenu national principe du multiplicateur keynĂ©sien*, sur le niveau des traitements des fonctionnaires, sur l’emploi crĂ©ation d’emplois aidĂ©s, sur les recettes variation Ă  la hausse ou Ă  la baisse des impĂŽts qui aura un impact sur la consommation et l’investissement, etc. L’Etat peut Ă©galement aider les entreprises par le biais de subventions, d’aides Ă  la recherche, de dĂ©grĂšvements fiscaux remises d’impĂŽts qui rĂ©duisent le montant versĂ©, etc. Les recettes et les dĂ©penses publiques exercent spontanĂ©ment une action contracyclique contraire procyclique sur l’activitĂ© Ă©conomique d’attĂ©nuation des alĂ©as de la conjoncture Ă©conomique. En effet, si une grande partie des dĂ©penses publiques sont indĂ©pendantes des variations Ă  court terme de l’activitĂ© Ă©conomique ex rĂ©munĂ©ration et retraite des fonctionnaires, certaines d’entre elles sont, en revanche, mĂ©caniquement liĂ©es Ă  la conjoncture. C’est notamment le cas des dĂ©penses d’indemnisation du chĂŽmage ou des prestations sociales versĂ©es sous condition de ressources, qui augmentent quand l’activitĂ© Ă©conomique se dĂ©grade. On considĂšre ainsi que l’élasticitĂ© des dĂ©penses publiques Ă  la conjoncture est comprise entre 0,1 et 0,3, autrement dit, les dĂ©penses publiques ont tendance Ă  augmenter spontanĂ©ment de 0,1 Ă  0,3 point lorsque la croissance ralentit d’un point. Lorsque l’activitĂ© Ă©conomique ralentit, les dĂ©penses publiques ont tendance Ă  s’accĂ©lĂ©rer tandis que les entrĂ©es de recettes ralentissent mĂ©caniquement, ce qui provoque une dĂ©tĂ©rioration du solde budgĂ©taire le montant des recettes fiscales diminue et le volume de dĂ©penses publiques augmente. La dĂ©tĂ©rioration de l’activitĂ© Ă©conomique provoque alors un transfert de revenus des administrations publiques vers les mĂ©nages et les entreprises, ce qui attĂ©nue mĂ©caniquement l’effet du ralentissement Ă©conomique sur les revenus de ces derniers. À l’inverse, en pĂ©riode de forte expansion Ă©conomique, les prĂ©lĂšvements obligatoires collectĂ©s augmentent mĂ©caniquement, tandis que les dĂ©penses publiques diminuent, ce qui a tendance Ă  freiner la croissance de la demande intĂ©rieure et donc Ă  attĂ©nuer les risques de surchauffe inflationniste. Les recettes et les dĂ©penses publiques fonctionnent donc comme des “stabilisateurs automatiques” puisqu’elles contribuent Ă  amortir les variations conjoncturelles de l’activitĂ© Ă©conomique. la politique monĂ©taire La politique monĂ©taire consiste Ă  fournir les liquiditĂ©s nĂ©cessaires au bon fonctionnement et Ă  la croissance de l’économie tout en veillant Ă  la stabilitĂ© de la monnaie tant externe paritĂ© avec les autres devises que interne maĂźtrise de l’inflation. La politique monĂ©taire doit donc rĂ©guler la masse monĂ©taire, et donc la crĂ©ation de monnaie, via le crĂ©dit. La modulation de la demande de crĂ©dit se fait par le biais des taux d’intĂ©rĂȘt directeurs. Par exemple, une hausse de ces derniers dĂ©cidĂ©e au niveau de la Banque Centrale provoque une baisse des crĂ©dits octroyĂ©s. Cela lui permet ainsi de concourir Ă  la stabilitĂ© des prix. Une politique monĂ©taire restrictive correspond Ă  une politique monĂ©taire privilĂ©giant des taux d’intĂ©rĂȘt Ă©levĂ©s afin de lutter contre l’inflation ; inversement, une politique monĂ©taire expansionniste correspond Ă  une politique monĂ©taire privilĂ©giant des taux d’intĂ©rĂȘt faibles afin de relancer la croissance. Dans la zone euro, les autoritĂ©s monĂ©taires BCE sont indĂ©pendantes et considĂšrent que la croissance et l’emploi ne relĂšvent pas de leur responsabilitĂ© ; leur objectif principal est le maintien d’un taux d’inflation faible moins de 2 %. La politique de relance La politique de rigueur Exercice ComplĂ©ter le schĂ©ma en dĂ©plaçant les Ă©tiquettes
Garcia Cahiers français, çais, no 279 ; Janvier 1997 Document 6 : Le cadre europĂ©en Depuis la mise en place de l’euro, la politique monĂ©taire mon et la politique du change ne sont plus du ressort des Etats mais de celui de la BCE. un pays de la zone euro ne peut plus dlmnuer son taux d’intĂ©rĂȘt en cas de baisse spĂ©cifique de la emande : il doit utiliser sa politique Nature de la ressource et liens vers les activitĂ©s Objet vidĂ©o, document, animation flash
 ActivitĂ© rĂ©alisĂ©e dans le cadre des Travaux acadĂ©miques mutualisĂ©s sur le thĂšme de la ludification. Quiz sur quizizz SES Terminale sources de la croissance OA1/2/3 TRAAM SES Terminale dĂ©fis de la croissance OA4/5 TRAAM SES Terminale Commerce international 0A1/2/3/4 TRAAM SES Terminale Commerce international 0A5 TRAAM SES Terminale Europe OA1/2 TRAAM SES Terminale Europe OA3/4 TRAAM SES Terminale structuration sociale OA1/2 TRAAM SES Terminale classes et stratification sociale OA3 TRAAM 5 SES Terminale mutations du travail et de l'emploi TRAAM SES Terminale engagement politique TRAAM SES Terminale justice sociale OA1/OA3 TRAAM SES Terminale Justice sociale Outils de mesure OA2 TRAAM SES Terminale justice sociale action pp OA4 TRAAM Lien avec le programme niveau, enseignement, thĂšme Terminale, spĂ©cialitĂ© SES Quels sont les sources et les dĂ©fis de la croissance Ă©conomique ? Quels sont les fondements du commerce international et de l'internationalisation de la production ? Quelles politiques Ă©conomiques dans le cadre europĂ©en ? Comment est structurĂ©e la sociĂ©tĂ© française actuelle ? Quelles sont les mutations du travail et de l'emploi ? Comment expliquer l'engagement politique dans les sociĂ©tĂ©s dĂ©mocratiques ? Quelles inĂ©galitĂ©s sont compatibles avec les diffĂ©rentes conceptions de la justice sociale ? Cadre d’utilisation classe entiĂšre, TD, travail en autonomie Classe entiĂšre ou autonomie Usages Il s’agit d’un jeu questionnaire qui va permettre de jouer d’abord Ă  plusieurs OU seul. Nous proposons aux Ă©lĂšves deux modes de jeu 1/ A la fin d’un chapitre ou Ă  la fin de certains objectifs d’apprentissage, nous demandons aux Ă©lĂšves de rĂ©viser pour la sĂ©ance suivante. Nous dĂ©marrons la sĂ©ance par un quiz. Quizizz permet d’apporter beaucoup d’élĂ©ments de ludification. L’interface dĂ©jĂ  met l’élĂšve dans une atmosphĂšre ludique. Ensuite quizizz mets les Ă©lĂšves en compĂ©tition. Un classement en temps rĂ©el est vidĂ©o projetĂ©. Les Ă©lĂšves gagnent des points en rĂ©pondant juste et rapidement. L’utilisation du chrono permet de ne pas avoir une trop forte hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© dans les temps de jeu. NĂ©anmoins, nous demandons aux Ă©lĂšves lorsqu’ils ont terminĂ© leur questionnaire, et les Ă©lĂšves prennent l’habitude de le faire, de regarder leurs mauvaises rĂ©ponses et le corrigĂ©. C’est un moment fort de l’apprentissage. Une fois la partie terminĂ©e, quizizz propose un podium avec les Ă©lĂšves qui font les trois meilleurs scores. Afin de garder cet aspect ludique, nous souhaitons Ă  la fois qu’il y ait des Ă©lĂ©ments de motivation extrinsĂšques. Nous proposons un systĂšme de rĂ©compense. Les trois Ă©lĂšves en tĂȘte tirent au sort un privilĂšge ». Nous nous inspirons ainsi des systĂšmes de rĂ©compense largement utilisĂ©s Ă  l’école Ă©lĂ©mentaire mais qui semblent bien fonctionner avec nos Ă©lĂšves de terminale. Les privilĂšges proposĂ©s seront propres Ă  chaque enseignant mais en voici quelques exemples Choisir son sujet si deux sujets donnĂ©s lors d’un devoir, Poser une question pendant un devoir et le prof rĂ©pond oui ou non, avoir le droit de changer de place dans le plan de classe pendant une semaine, avoir droit Ă  un petit retard exceptionnel, pouvoir Ă©viter l’interrogation en dĂ©but d’heure
 Nous n’affichons Ă  l’écran que les cinq premiĂšres places du classement pour ne pas stigmatiser les Ă©lĂšves. En dehors des rĂ©compenses, le mode compĂ©tition avec un classement entraĂźne une forte motivation extrinsĂšque. Mais les Ă©lĂšves apprĂ©cient aussi le simple plaisir de jouer. 2/ En dehors de ces phases de jeux collectives, les Ă©lĂšves jouent seuls car nous ouvrons Ă  nouveau ces quiz hors classe pour permettre aux Ă©lĂšves de rĂ©viser avant une Ă©valuation. Pour renforcer l’aspect ludique, nous choisissons dans les paramĂštres des pouvoirs ». Ainsi, mĂȘme en mode individuel, l’élĂšve reste dans une forme de jeu. Au fur et Ă  mesure des questions, l’élĂšve gagne de pouvoir comme doubler les points sur une question, enlever la moitiĂ© des rĂ©ponses dans un qcm, arrĂȘter le chrono
 On est alors dans l’univers du jeu vidĂ©o et l’élĂšve est incitĂ© Ă  jouer » plusieurs fois. Objectifs pĂ©dagogiques Motiver les Ă©lĂšves Ă  s’investir dans un apprentissage rĂ©gulier des leçons hors classe / en classe Identifier rapidement les Ă©lĂ©ments non maitrisĂ©s par les Ă©lĂšves pour les Ă©lĂšves et le professeur Identifier par l’évaluation les fondamentaux savoirs et savoir faire de chaque leçon Les Ă©lĂšves vont rĂ©viser davantage qu’à leur habitude. Une premiĂšre fois pour prĂ©parer la phase de jeu en classe. Beaucoup d’élĂšves rĂ©visent dans le but d’ĂȘtre performant lors du jeu en mode collectif. Le jeu lui-mĂȘme leur permet de faire le point sur leurs connaissances, mĂȘme si la phase de jeu chronomĂ©trĂ©e n’est pas la plus efficace pour apprendre. NĂ©anmoins, le temps d’analyse des rĂ©ponses leur permet de revenir encore une fois sur les questions. Enfin ils rĂ©pĂšteront l’exercice avec le mode de jeu individuel chez eux. Cette fois ci la bonne rĂ©ponse leur est indiquĂ©e Ă  la fin de chaque question, ce qui leur permet de bien identifier leurs erreurs. Or, on sait qu’un apprentissage rĂ©pĂ©tĂ© et en mĂȘme temps Ă©talĂ© dans le temps favorise la mĂ©morisation. C’est un mode d’apprentissage particuliĂšrement efficace pour des Ă©lĂšves faibles qui ont parfois tendance Ă  apprendre par coeur leur cours. Le quiz les force Ă  rĂ©flĂ©chir et tester diffĂ©remment leur mĂ©moire. Bilan TrĂšs forte motivation des Ă©lĂšves et trĂšs bonne ambiance de classe. Les Ă©lĂšves se prennent au jeu. Aucun Ă©lĂšve n’a pas envie de participer, mĂȘme les Ă©lĂšves souvent en difficultĂ© sur les tests. Grande polyvalence de l’outil qui permet de relancer le jeu hors classe. Une majoritĂ© d’élĂšves refait le test Ă  la maison pour s’entraĂźner avant les contrĂŽles Il faut ĂȘtre vigilant sur l’inscription des Ă©lĂšves » car ils ne doivent pas indiquer leur nom. On peut pour ĂȘtre le plus en conformitĂ© avec la RĂ©glementation GĂ©nĂ©rale sur la Protection des DonnĂ©es faire une liste de pseudos ou attribuer un chiffre aux Ă©lĂšves. Au dĂ©but, certains Ă©lĂšves sont tentĂ©s de mettre des pseudos provocateurs et il faut bien donner des consignes par rapport Ă  cela on peut par exemple immĂ©diatement supprimer une inscription qui ne convient pas Tutoriel Tutoriel Quizizz crĂ©ation et paramĂ©trages Tutoriel Quizizz rĂ©cupĂ©ration des quiz RetourHautMise Ă  jour 17 juin 2022
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Ledrapeau europĂ©en, symbole de l’Union EuropĂ©enne 1951 : TraitĂ© de Paris – La CommunautĂ© EuropĂ©enne du Charbon et de l’Acier . En 1951, le traitĂ© de Paris dĂ©marre la construction europĂ©enne en instaurant une collaboration entre les pays europĂ©ens visant Ă  favoriser les Ă©changes et la paix, le dynamisme Ă©conomique et la croissance. Il porte sur L'intĂ©gration Ă©conomique de l'Europe a dĂ©butĂ© au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. La communautĂ© europĂ©enne est assez rapidement parvenue Ă  l'Ă©tape du MarchĂ© commun, dĂ©veloppant alors une nouvelle ambition d'intĂ©gration monĂ©taire, sociale et politique. Aujourd'hui, le volet Ă©conomique du processus, qu'on pouvait considĂ©rer comme en voie d'achĂšvement, est en partie remis en cause, notamment sur la question monĂ©taire, par une crise qui semble renvoyer Ă  plus tard le processus d'unification sociale et politique. Le poids de l'Union europĂ©enne Ă  27 partenaires 26 % environ du PIB mondial en 2011 suffit-il Ă  contrebalancer l'influence des États-Unis 22 % du PIB mondial sur l'Ă©conomie mondiale ? Quel rĂŽle cette union, fragile sur le plan politique, peut-elle jouer face aux gĂ©ants Ă©mergents que sont la Chine, l'Inde ou le BrĂ©sil ? I Une intĂ©gration croissante des Ă©conomies europĂ©ennes A La construction du marchĂ© unique Une intĂ©gration Ă©co rĂ©alisĂ©e par Ă©tapes A la suite de la crĂ©ation de la CommunautĂ© europĂ©enne du charbon et de l’acier CECA en 1951, 6 pays europĂ©ens signent le TraitĂ© de Rome en 1957 qui crĂ©era la CommunautĂ© Ă©co europĂ©enne CEE. L’Acte Unique europĂ©en 1986 organisera la rĂ©alisation d’un marchĂ© unique. La libre circulation des marchandises, des hommes et des K sera rĂ©alisĂ©e en traitĂ© de Maastricht 1992 met en place les Ă©tapes du passage Ă  la monnaie unique et Ă©tend le champ des compĂ©tences de la CommunautĂ© europĂ©enne qui devient l’Union europĂ©enne UE. Une intĂ©gration politique La CEE puis l’UE ne se limitent pas Ă  une simple zone de libre-Ă©change. Elles se sont dotĂ©es d’institutions communes Conseil europĂ©en, Commission, Parlement, Cour de Justice
 qui mĂšnent des pol supranationales. Les Etats membres conservent toutefois l’essentiel de leur souverainetĂ© et de leurs prĂ©rogatives budgĂ©taires. B Avantages et limites de l’intĂ©gration europĂ©enne Les bĂ©nĂ©fices attendus du marchĂ© unique Selon ses fondateurs, le marchĂ© unique devait intensifier la concurrence entre les firmes et ses Etats membres et favoriser la circulation des K, des biens et services et des personnes. Ces Ă©volutions devaient elles-mĂȘmes stimuler la croiss du PIB, crĂ©er des emplois, augmenter la variĂ©tĂ© des produits disponibles pour le conso et exercer une pression Ă  la baisse sur les prix. Enfin, une convergence des diffĂ©rentes Ă©co nationales Ă©tait Ă©galement attendue, et notamment un rattrapage des plus riches par les moins prospĂšres. IntĂ©gration et Ă©largissement deux objectifs contradictoires ? Depuis sa crĂ©ation, la communautĂ© n’a cessĂ© d’accueillir de nouveaux pays, non sans certaines conditions, pour atteindre ajd 27 membres. Toutefois, ces Ă©largissements rendent la concertation pol tjrs plus compliquĂ©e. Ils accroissent la diversitĂ© des situations Ă©co, risquant de favoriser des concurrences fiscales et sociales. Les meilleurs professeurs de SES disponibles5 45 avis 1er cours offert !5 154 avis 1er cours offert !4,9 17 avis 1er cours offert !5 21 avis 1er cours offert !4,9 47 avis 1er cours offert !4,9 24 avis 1er cours offert !4,8 8 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !5 45 avis 1er cours offert !5 154 avis 1er cours offert !4,9 17 avis 1er cours offert !5 21 avis 1er cours offert !4,9 47 avis 1er cours offert !4,9 24 avis 1er cours offert !4,8 8 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !C'est partiII Pourquoi une monnaie unique ? A Les justifications du passage Ă  la monnaie unique Enrayer la fluctuation des changes Avec la fin du systĂšme de Bretton Woods 1976, les devises nationales fluctuaient dĂ©sormais en fonction de l’évolution des balances des paiements respectives. Une telle situation renforçait les incertitudes de change, au dĂ©triment des Ă©changes commerciaux dans la zone. Celles-ci Ă©taient amplifiĂ©es par des attaques spĂ©culatives contre les monnaies europĂ©ennes. CrĂ©er une zone monĂ©taire optimale » Les Etats ouest-europĂ©ens s’efforcĂšrent de coordonner leur pol monĂ©taires dĂšs 1972pour contenir les fluctuations rĂ©ciproques de leurs devises dans certaines marges. Celle-ci fut progressivemt renforcĂ©e, avec la mise en place du SystĂšme monĂ©taire europĂ©en SME en1979, et surtout du traitĂ© de Maastricht de 1992 qui fixera des critĂšres de convergence pour assurer le passage Ă  la monnaie unique. L’euro monnaie adoptĂ©e parla majoritĂ© des Etats membres de l’UE naĂźt le 1er janvier 1999 avec 11 membres au dĂ©part. L’enjeu pour eux est de former une zone monĂ©taire optimale », CAD suffisamment homogĂšne Ă©conomiquement pour pouvoir mener une mĂȘme pol monĂ©taire convenant Ă  tous. B Un outil contraignant et contestĂ© Des performances Ă©co et dĂ©cevantes Le bilan actuel de l’euro est cependant dĂ©cevant les pays de l’Union Ă©conomique et monĂ©taire UEM, accord entre plusieurs Etats qui adoptent une monnaie unique et des pol communes et concertĂ©es. C’est le dernier stade de l’intĂ©gration Ă©co, selon Bela Balassa. L’UEM dĂ©signe aussi la zone euro, le terme ayant Ă©tĂ© adoptĂ© pour dĂ©signer l’accord des Etats membres ont connu depuis sa crĂ©ation une croiss du PIB infĂ©rieure et le chĂŽmage reste supĂ©rieur Ă  ceux qui ont prĂ©fĂ©rĂ© rester Ă  l’extĂ©rieur. Les critĂšres de convergence, relayĂ©s parle Pacte de stabilitĂ© et de croiss 1997, fixent par ailleurs des obj Ă  ne pas dĂ©passer en matiĂšre budgĂ©taire qui empĂȘchent de mener de vĂ©ritables pol de relance. Une politique monĂ©taire restrictive La Banque centrale EuropĂ©enne BCE, indĂ©pendante des gouvernements, a pour seul obj la maĂźtrise de l’inflation ce qui a conduit Ă  des pol monĂ©taires restrictives dĂ©sinflation compĂ©titive. La pol monĂ©taire de la BCE proposant un taux d’intĂ©rĂȘt nominal unique, certaines Ă©co plus inflationnistes ont pu consommer et s’endetter plus que d’autres grĂące Ă  de faibles tx d’intĂ©rĂȘts rĂ©els. Tandis que d’autres Ă©co moins dynamiques pĂątissaient de tx d’intĂ©rĂȘts rĂ©els trop Ă©levĂ©s. Cela a entraĂźnĂ© une divergence des Ă©co au sein de la zone euro. III Quelle direction politique pour la zone euro ? A Une politique monĂ©taire unique et des politique budgĂ©taires nationales un policy-mix asymĂ©trique Un budget communautaire insuffisant ComparĂ© Ă  d’autres fĂ©dĂ©rations d’Etats, le budget communautaire de l’UE apparaĂźt trĂšs faible. En consĂ©quence, la BCE gĂšre la pol monĂ©taire et les Etats-membres la pol budgĂ©taire. Des instruments de gouvernance dĂ©crĂ©dibilisĂ©s Le pacte de stabilitĂ© et de croiss est supposĂ© encadrer les pol budgĂ©taires des Etats, mais ses rĂšgles se rĂ©vĂšlent trop rigides pour tenir compte des situations particuliĂšres. En mĂȘme temps, il n’est pas parvenu Ă  assurer un contrĂŽle suffisant sur les finances des Etats exceptions, statistiques peu faibles
. Enfin, aucun instrument ne permet Ă  la BCE et aux Etats membres de venir en aide Ă  un de leurs menacĂ© d’insolvabilitĂ©, seule la sanction Ă©tant prĂ©vue. B Comment se coordonner par temps de crise » ? Le cercle vicieux de la dette Suite Ă  la crise initiĂ©e Ă  l’étĂ© 2007, les Etats de l’UE se sont retrouvĂ©s confrontĂ©s Ă  une crise de l’endettement public. Celui-ci n’a cessĂ© de se creuser sous l’effet d dĂ©ficits budgĂ©taires importants la baisse du PIB entraĂźnant une baisse des recettes et une hausse des dĂ©penses, mais aussi de la hausse des tx d’intĂ©rĂȘts. La difficultĂ© Ă  Ă©laborer des solutions communes Pour venir en aide aux Etats des pays du sud, trĂšs endettĂ©s, un fonds europĂ©en de stabilitĂ© financier FESF a Ă©tĂ© mis sur pied. Cependant, les pays de l’UEM rencontrent de trĂšs graves difficultĂ©s Ă  s’entendre sur le montant et les conditions de l’aide Ă  apporter. Il s’agit en effet de repenser la solidaritĂ© budgĂ©taire entre les pays ce qui implique des transferts de souverainetĂ©, sources de tensions. Certaines analyses considĂšrent que la construction europĂ©enne s'est faite Ă  l'envers le monĂ©taire d'abord, le politique ensuite. Il n'y a donc pas, au sein de l'Europe, une autoritĂ© politique incontestĂ©e, ni de budget europĂ©en permettant de mobiliser des masses financiĂšres importantes. La politique budgĂ©taire reste pour l'instant du ressort des États nationaux. Le Pacte de stabilitĂ© et de croissance a perdu, en raison des dĂ©gĂąts engendrĂ©s par la crise financiĂšre, l'essentiel de sa crĂ©dibilitĂ©. Si la Banque centrale europĂ©enne a assoupli sa position pour tenir compte des difficultĂ©s d'endettement de nombreux pays, elle reste confrontĂ©e Ă  l'obligation de mener une politique monĂ©taire unique face Ă  des pays dont les problĂšmes exigeraient des rĂ©ponses diffĂ©renciĂ©es. L'Union est ainsi impuissante Ă  rĂ©pondre Ă  ces chocs asymĂ©triques qui touchent certains de ses membres sans concerner les autres niveau de la dette publique, vieillissement dĂ©mographique, situation de la protection sociale, dĂ©pendance Ă©nergĂ©tique
. Faire parler l'Europe d'une seule voix sur la scĂšne internationale face aux autres gĂ©ants États-Unis, Chine, Russie, Inde ou BrĂ©sil suppose des abandons de souverainetĂ© dans des domaines sensibles comme la politique Ă©trangĂšre ou la dĂ©fense nationale, prĂ©rogatives traditionnelles des États-nations. Les cultures politiques marquĂ©es par l'histoire et le poids des opinions publiques nationales rendent cette Ă©tape de l'intĂ©gration plus problĂ©matique que les prĂ©cĂ©dentes.
DOSSIER2: Quelles politiques économiques dans le cadre européen ?-1- La politique monétaire dans le cadre européen (l'euro et la BCE) Depuis 1999, dans la zone euro (17 pays membres) la politique monétaire a été unifiée et transférée à la BCE (banque centrale européenne). Une banque qui est indépendante des états et dont le
La politique dans le cadre europeen La mise en ?ouvre des politiques Ă©conomiques 1 . Des politiques Ă©conomiques sous contraintes Introduction. En Ă©conomie de marchĂ©, l’état joue un rĂŽle de rĂ©gulateur et utilise des instruments afin d’atteindre certains objectifs, mais il agit sous contrainte. Ai. Contraintes internationales La monopolisation est marquĂ©e par la disparition progressive des obstacles Ă  la circulation des biens, des capitaux et des personnes; les Ă©tats sont mis en concurrence par les agents usine toi en nĂ©es Ă©conome?queues. L’ONCE cherche Ă  faire relations Ă©conomique Le FAIM impose des rĂ© Ă©change de son aide b. Les contraintes rĂ©gional es FO once loyale dans les lapement en La commission europĂ©enne surveille et contrĂŽle si l’action des Ă©tats membre va dans le sens la concurrence loyale ContrĂŽle des ententes et des opĂ©rations de concentration au sein du marchĂ© unique par la commission europĂ©enne L’indĂ©pendance de la BEC depuis la mise en place de l’euro, la politique monĂ©taire et la politique de change ne sont plus du ressort des Ă©tats mais de celui la BEC. La pacte de stabilitĂ© et de croissance la politique budgĂ©taire Ă©levĂ© de la responsabilitĂ© du gouvernement de chaque Ă©tat membre mais ces Ă©tats doivent respecter un dĂ©ficit public infĂ©rieur Ă  3% du PUB, la dette publique infĂ©rieure Ă  60% du PUB, avec Ă  terme l’obligation de parvenir Ă  l’équilibre des f finances publiques 2. La politique conjoncturelle Les objectifs et es instruments La politique conjoncturelle correspond Ă  l’ensemble des mesures prises par les pouvoirs publics en vue d’atteindre Ă  court terme les objectifs suivant Une croissance Ă©levĂ©e du PUB Le plein emploi La stabilitĂ© des prix Ă©quilibre des Ă©changes extĂ©rieurs La politique budgĂ©taire consiste Ă  utiliser le budget comme moyen d’action en faisant varier les dĂ©penses et ou les recettes de l’état afin d’agir sur la demande selon l’objectif choisi relance ou rigueur ces le gouvernement de chaque pays qui prend les mesures de politique budgĂ©taire les pays de la zone euro sont contraints de respecter le pacte de stabilitĂ© et de croissance imposĂ© par la commission europĂ©enne La politique monĂ©taire correspond Ă  l’ensemble des interventions de la banque centrale pour influencer le taux d’intĂ©rĂȘt et liquiditĂ© des banques, afin d’augmenter ou de freiner la croissance de la masse monĂ©taire Les politiques de relance Il s’agit de politiques qui visent Ă  lutter contre la rĂ©cession et de rĂ©duire le taux de chĂŽmage en agissant sur la demande ou sur l’offre par le biais de l’instrument budgĂ©taire et de l’instrument monĂ©taire Les instruments et les effets attendus cf.. Tableau 2 augmentation des prestations sociales, subventions aux entreprises, investissement public Baisse des impĂŽts et des charges sociales Augmentation de la demande consommation des mĂ©nages, investissement des entreprises Stimulation de l’offre reprise de l’activitĂ© Ă©conomique CrĂ©ation d’emploi et baisse du chĂŽmage Politique monĂ©taire boa sĂšment du taux directeur Injection supplĂ©mentaire sur le marchĂ© interbancaire par le rachat de titres aux banques Baisse des taux d’intĂ©rĂȘts donc plus d’emprunts Augmentation de la demande et reprise de l’activitĂ© Ă©conomique 3. Les politiques de rigueur Il s’agit de politiques qui visent Ă  rĂ©tablir les grands Ă©quilibres la stabilitĂ© des prix et l’équilibre des Ă©changes extĂ©rieurs Les instruments et les effets attendus Instruments ModalitĂ©s Effets attendus Politique budgĂ©taire RĂ©duction des dĂ©penses publiques Hausse des impĂŽts Baisse de la demande Ralentissement de la hausse des prix Abaissement du taux directeur 4. Les politiques structurelles Elle comprend l’ensemble des interventions de l’état visant amĂ©liorer durablement les s de l’économie de concentration, etc. La politique environnement vise Ă  prĂ©server l’environnement La politique sociale permet de corriger les inĂ©galitĂ©s par la redistribution des revenus 5. Les limites Ă  l’efficacitĂ© des politiques Ă©conomique . Des contraintes de financement et d’endettement public La relance de l’économie par un accroissement des dĂ©penses publiques provoque un dĂ©ficit budgĂ©taire. Acheta est donc amenĂ© Ă  emprunter, ce qui augmente la dette publique b. Coiffe d’éviction ’emprunt public ponctionne l’épargne et ralentie l’investissement des entreprises. Sur le marchĂ© des capitaux, l’emprunt d’état vient en concurrence des emprunts privĂ©s qui trouvent plus difficilement les capitaux nĂ©cessaires au financement de l’investissement. Cc. L’anticipation des agents Ă©conomiques Ils seraient capables identifier rationnellement. Ils ne seraient pas prĂȘts Ă  dĂ©penser plus et les politiques de relances perdraient toute efficacitĂ©. Remarque La contrainte liĂ©e Ă  l’ouverture des Ă©conomies.
DISSERTATION. SUJET . Dans quelle mesure les pays membres de l’union Ă©conomique et monĂ©taire (UEM) disposent-ils de marges de manƓuvre suffisantes en matiĂšre de politique Ă©conomique ? DOCUMENT 1 . L’article 2 du traitĂ© sur l’Union europĂ©enne stipule que l’Union europĂ©enne se donne pour objectifs de promouvoir « le progrĂšs Ă©conomique et social
Accueil Terminale SES Auteurs Quelles politiques économiques dans le cadre européen ? Jean Monnet Né en 1888, Jean Monnet est un homme politique français. Il est, avec l'italien De Gasperi et le chancelier allemand Adenauer, considéré comme l'un des PÚres fondateurs de l'Europe. Il joue un rÎle-clé dans la création de la CEE, future Union européenne. Il décÚde en 1979. Robert Mundell Né en 1932, Robert Mundell est un économiste canadien, prix Nobel d'économie en 1999. Ses travaux donnent naissance à la théorie de la zone monétaire optimale. En Europe, il influence les partisans de l'adoption de la monnaie unique. Mario Draghi Né en 1947, Mario Draghi est un économiste italien. Il est directeur de la Banque centrale européenne de 2011 à 2019. Il y pratique une politique monétaire de rachat de dettes pour tenter de limiter les effets de la crise de 2011. sIAMarx.
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