8 Prendre la responsabilité d’aller bien. Adopter une hygiène de vie parfaite ce n’est pas seulement bien manger et faire du sport. Selon moi, c’est bien plus profond que cela. C’est faire le choix d’aller bien, d’une vie saine et sereine.
fermer mar. 18 Décembre2000 16€ / 12€ / 10€ 2 points Pass' théâtre Collectif Bajour 1h30 De et avec Leslie Bernard, Julien Derivaz, Matthias Jacquin, Hector Manuel, Joaquim Pavy, Lou Rousselet, Sylvère Santin, Georges Slowick, Alexandre Virapin, Adèle Zouane - Collaboration artistique Matthias Jacquin - Création lumière Julia Riggs - Scénographie Hector Manuel C’est tout juste sorti de l’École du Théâtre National de Bretagne que le collectif Bajour se lance dans l'écriture collective d’Un homme qui fume c'est plus frères et sœurs se retrouvent pour les obsèques de leur père alors qu’ils se sont, pour certains, perdus de vue depuis longtemps. Comment se parler après tant d’années d’absence? Comment se souvenir, se reconnaître ? Et surtout qu’est ce qui les a éloignés pendant tout ce temps ? Ces retrouvailles sont l’occasion de réouvrir les dossiers et les plaies pour cette fratrie bien vivante et bruyante, séparée par les non-dits et les secrets. Incroyablement talentueux, les huit comédiens et comédiennes passent de l’écriture à l’improvisation, donnant des envolées joyeuses et puissantes au plateau. Les mots, le langage quotidien, percutent, dans une écriture fine et aiguisée. Une vraie découverte que cette création collective incarnée et réjouissante qui a reçu le Prix des Lycéens du Festival Impatience 2017, dont l’Espace 1789 est dès 19hKimpop Foodtruck... cuisine coréenne et délicieux bibimpap.
Lespoumons retrouvent un peu de souffle. Ils commencent à évacuer le mucus et les résidus de fumée. À noter que « 48 heures après l’arrêt, les risques d’infarctus commencent à
Pas de textes en amont, mais des références littéraires, théâtrales ou cinématographiques, ont nourri cette création familiale du collectif BAJOUR. D’abord écrite ensemble, à huit, sur le thème du retour de la famille pour l’enterrement du père, cette production concertée jaillit d’un groupe soudé depuis sa sortie de l’École Supérieure d’art dramatique du Théâtre National de Bretagne en 2015. Une réunion de famille. Sept frères et soeurs se retrouvent pour les obsèques du père. Il y a ceux qui ne sont pas revenus chez eux depuis longtemps, et ceux qui sont restés. Le moment de la disparition, des retrouvailles, des souvenirs et de la re-connnaisance. Celui de l’incompréhension de ce qui a séparé ? Pour cette création collective forgée au plus près des propositions de chacun, improvisations, références Retour à Reims de Didier Eribon, La Misère du monde de Bourdieu, et des textes de Jean-Luc Lagarce…, le collectif BAJOUR place son Homme qui fume c’est plus sain à mi-chemin entre des préoccupations intimes et d’autres plus sociales et politiques. Séparation et conflit au sein de la fratrie, mais aussi questions sur les trajectoires individuelles ou le déterminisme social. Une tragédie antique de la famille, mise en scène par Leslie Bernard, entre réalisme et onirisme. Collectif Bajour Un homme qui fume c’est plus sain création collective de BAJOUR mise en scène Leslie Bernard de et avec Leslie Bernard, Julien Derivaz, Matthias Jacquin, Hector Manuel, Joaquim Pavy, Lou Rousselet, Sylvère Santin, Georges Slowick, Alexandre Virapin, Adèle Zouane collaboration artistique Matthias Jacquin création lumière Julia Riggs scénographie Hector Manuel construction du décor et régie générale François Aupée Production déléguée BAJOUR Coproduction Théâtre National de Bretagne / Rennes durée 1h30 Avignon Off 2018 La Manufacture Patinoire du 06 au 26 juillet Relâches les 12 et 19 juillet à 11h50 Durée 1h55 Trajet en navette compris Lisezles Avis et Critiques sur Un homme qui fume c'est plus sain - Avignon avec Leslie Bernard, Julien Derivaz, Matthias Jacquin, Hector Manuel, Joaquim Pavy, Georges Slowick, Un homme qui fume, que ça fait du bien ! Par Laura Plas Les Trois Coups Un homme qui fume c’est plus sain », du collectif BAJOUR, s’impose comme un grand moment du festival Impatience. Le spectacle a tout d’un prix du public une troupe d’excellents acteurs maîtrisant l’art de faire théâtre de rien et une histoire de famille tendre et terrifiante. Pas possible des comédiens qui croient au théâtre ! Pas de vidéo, pas de référence à l’art plastique, ni à l’architecture ! Pas non plus de charabia méta théâtral pour prouver son intelligence. Non, simplement du théâtre incarné, jouissif et imaginatif en diable. En décalage avec certaines créations prétentieuses du festival, le collectif BAJOUR présente une pièce où la fragmentation narrative prend tout son sens, où la technique n’est pas une fin mais un moyen intelligemment employé au service des acteurs, où la référence, enfin, ne sature pas le propos mais laisse place à l’intime. Un homme qui fume c’est plus sain » du collectif BAJOUR © Christian Berthelot Au cœur de l’intrigue, le spectateur devine, en effet, un secret de famille caché entre des draps, niché dans une boîte métallique. C’est une histoire triste celle d’un père qu’on enterre et gaie à la fois celle d’une fratrie gueularde et vivante, une histoire faite de bribes coupantes et de souvenirs lyriques. L’esprit de Jean-Luc Lagarce plane, mais peut-être aussi celui de Thomas Vinterberg on n’en dira pas plus pour ne pas gâcher la surprise. Certes, le texte ne brille pas, mais les comédiens, tous plus convaincants les uns que les autres, le portent. Que la fête commence ! Quelle bande de gars et de filles ! Ils commencent fort par un numéro de séduction du public. Amusé, on est alors entraîné dans le tourbillon d’une parole joueuse et on n’en sortira qu’au salut. Chaque comédien a un moment de gloire où il électrise la scène de sa présence. L’on se souviendra peut-être d’une camionnette jaune qui s’envole, d’une petite sœur chahutée par la vie, ou encore d’un petit déjeuner peu ordinaire. Surtout, on retient la dimension festive et collective du spectacle. En effet, Leslie Bernard chorégraphie véritablement la fratrie, alternant les solos et les moments collectifs particulièrement réussis. Au bain, à table, face à la tombe ou devant un match, on voit ainsi la famille, on la vit. Et comme la scénographie d’Hector Manuel est efficace et chaleureuse, que la lumière de Julia Riggs habille le plateau et nous plonge parfois dans le rêve, cette belle équipe est bien mise en valeur. Alors, bien que la pièce traite de sujets graves, on sort réjoui et confiant dans la force du théâtre et de l’imaginaire. ¶ Laura Plas Un homme qui fume c’est plus sain, du collectif BAJOUR De et avec Leslie Bernard, Julien Derivaz, Matthias Jacquin, Hector Manuel, Joaquim Pavy, Lou Rousselet, Sylvère Santin, Georges Slowick, Alexandre Virapin et Adèle Zouane Durée 1 h 30 À partir de 15 ans Photo © Christian Berthelot La Gaité lyrique • 3 bis, rue Papin • 75003 Paris Le 16 décembre 2017, à 19 heures et le 17 décembre 2017, à 16 heures De 6 € à 12 € Pass Impatience 30 à 35 € Réservations 05 55 00 98 36 À découvrir sur Les Trois Coups ☛ Lotissement, de Frédéric Vossier, par Léna Martinelli ☛ Lauréats du festival Impatience 2016

Unhomme qui fume, que ça fait du bien ! Par Laura Plas Les Trois Coups « Un homme qui fume c’est plus sain », du collectif BAJOUR, s’impose comme un grand moment

► UN HOMME QUI FUME C'EST PLUS SAIN ◄ BAJOUR Création collective de BAJOUR Mise en scène Leslie Bernard Pas de textes en amont, mais des thèmes, des références littéraires, théâtrales ou cinématographiques, ont nourri cette création de BAJOUR. D’abord écrite ensemble, à huit, cette pièce jaillit d’un groupe soudé depuis sa sortie de l’École Supérieure d’art dramatique du Théâtre National de Bretagne en 2015. Une réunion de famille. Sept frères et sœurs se retrouvent pour les obsèques du père. Il y a ceux qui ne sont pas revenus chez eux depuis longtemps, et ceux qui sont restés. Le moment de la disparition, des retrouvailles, des souvenirs et de la re-connnaisance. Comment se parler après tant d’années d’absence? Comment se souvenir? Comment se reconnaître? Et, surtout, qu’est-ce qui les a séparés pendant tout ce temps? Pour cette création collective forgée à partir des propositions de chacun, improvisations, références Retour à Reims de Didier Eribon, La Misère du monde de Bourdieu, et des textes de Jean-Luc Lagarce…, dans une réécriture au service de l’histoire, BAJOUR place son Homme qui fume c’est plus sain à mi-chemin entre des préoccupations intimes et d’autres plus sociales et politiques. Séparation et conflit au sein de la fratrie, non-dits et secrets, tentatives d’énonciation de la vérité, mais aussi questionnements sur les trajectoires individuelles ou le déterminisme social. Une tragédie familiale, mise en scène par Leslie Bernard, entre réalisme et onirisme. - ► DISTRIBUTION ◄ avec Leslie Bernard, Julien Derivaz, Matthias Jacquin, Hector Manuel, Joaquim Pavy, Lou Rousselet, Sylvère Santin, Georges Slowick, Alexandre Virapin et Adèle Zouane Collaboration artistique - Matthias Jacquin Création lumière - Julia Riggs Scénographie - Hector Manuel Construction du décor et régie générale - François Aupée - ► INFOS ◄ samedi 16 décembre à 19h & dimanche 17 décembre à 16h Tarif plein € Tarif réduit € Plus d'infos sur l'évènement - Production déléguée BAJOUR Coproduction Théâtre National de Bretagne/Rennes
Unhomme qui fume c’est plus sain. Complet. Vendredi 23 mars - 20h30. Durée : 1h30. 15€ / 12€ / 10€ / 4€ Théâtre. Théâtre. Une réunion de famille. Sept frères et sœurs se retrouvent fr en © théâtre Un homme qui fume c’est plus sain création collective de BAJOUR, mise en scène Leslie Bernard 16 > Hors les murs - à la Gaîté Lyrique, Paris 3e dans le cadre du Festival Impatience complet Pas de textes en amont, mais des thèmes, des références littéraires, théâtrales ou cinématographiques, ont nourri cette création de écrite ensemble, à huit, cette pièce jaillit d’un groupe soudé depuis sa sortie de l’École Supérieure d’art dramatique du Théâtre National de Bretagne en réunion de famille. Sept frères et sœurs se retrouvent pour les obsèques du père. Il y a ceux qui ne sont pas revenus chez eux depuis longtemps, et ceux qui sont restés. Le moment de la disparition, des retrouvailles, des souvenirs et de la re-connnaisance. Comment se parler après tant d’années d’absence ? Comment se souvenir ? Comment se reconnaître ? Et, surtout, qu’est-ce qui les a séparés pendant tout ce temps ?Pour cette création collective forgée à partir des propositions de chacun, improvisations, références Retour à Reims de Didier Eribon, La Misère du monde de Bourdieu, et des textes de Jean-Luc Lagarce…, dans une réécriture au service de l’histoire, BAJOUR place son Homme qui fume c’est plus sain à mi-chemin entre des préoccupations intimes et d’autres plus sociales et politiques. Séparation et conflit au sein de la fratrie, non-dits et secrets, tentatives d’énonciation de la vérité, mais aussi questionnements sur les trajectoires individuelles ou le déterminisme social. Une tragédie familiale, mise en scène par Leslie Bernard, entre réalisme et onirisme. complet Tarifs tarif réduit impatience 6 € tarif plein impatience 12 € tarif groupe + d'infos billetterie 01 53 35 50 00 en voir plus Infos pratiques Pass Impatience 35 € / 30 € réduitdurée 1h30 en voir plus Distribution de et avec Leslie Bernard, Julien Derivaz, Matthias Jacquin, Hector Manuel, Joaquim Pavy, Lou Rousselet, Sylvère Santin, Georges Slowick, Alexandre Virapin, Adèle Zouanecollaboration artistique Matthias Jacquin création lumière Julia Riggsscénographie Hector Manuel construction du décor et régie générale François Aupée Production, soutiens Production déléguée BAJOUR - Coproduction Théâtre National de Bretagne / Rennes Cependant beaucoup se demandent encore comment fumer un joint – la méthode la plus emblématique de consommation du cannabis. Un joint est un autre nom pour une cigarette de cannabis. La marijuana est la substance la plus communément fumée dans le monde, après le tabac. Le cannabis fumé est connu sous différents noms selon les pays. Par fr Version en ligne Théâtre. Création collective de BAJOUR, mise en scène Leslie Bernard ©ChristianBerthelot Sept frères et sœurs se retrouvent pour les obsèques de leur père alors qu’ils se sont perdus de vue depuis longtemps. Comment se parler après tant d’années d’absence ? Comment se souvenir et reconnaître ? Et surtout qu’est ce qui les a éloignés pendant tout ce temps ?Une fratrie joyeuse et vivante, séparée par les non-dits et les secrets. Dans une scénographie épurée, la troupe de jeunes comédiens donne à voir l’existence d’une famille en prise avec son histoire, les secrets et les non-dits. La pièce tisse une toile de souvenirs, esquissant chaque personnage à la lumière de sa mémoire d’enfant et de sa vie d’adulte. Sur fond de préoccupations intimes, mais aussi sociales et politiques, cette tragédie familiale emporte le spectateur dans un tourbillon de parole joueuse, dans cet art de faire du théâtre de rien, avec expérience de théâtre jouissive par sa sincérité et son énergie. A propos du lieu

Enparallèle, sur des affiches murales et le matériel promotionnel, de même qu’en ligne, la 35e SQAST claironne : « UN MONDE SANS FUMÉE J’y crois ». Ou « UN MONDE SANS FUMÉE C’est plus beau », « Ça m’inspire », etc. Chaque jour au Québec, environ 10 femmes et 18 hommes décèdent de maladies causées par l’usage du tabac.

Accueil > Un Homme qui fume c'est plus sain Retour à la selection Dans le cadre de l'événement ... Mise en scène Leslie Bernard, création du collectif BAJOUR. Fondé en 2015, par des élèves de la promotion 8 tout juste sortis de l’école du TNB. Une réunion de famille. Sept frères et sœurs se retrouvent pour les obsèques de leur père. Ils se sont perdus de vue depuis des années. Calendrier Dates Mercredi 2 novembre 2016 à 21h00Jeudi 3 novembre 2016 à 19h00Vendredi 4 novembre 2016 à 19h00Samedi 5 novembre 2016 à 15h00 Localisation Lieu Théâtre de la Paillette, 6 Rue Louis Guilloux 35000 Rennes Prix de 11 € à 26,50 € Réserver Géolocalisation Google map Où trouver ce spectacle ?
Cest ce que confirme le dernier numéro du bulletin épidémiologique de l’Institut national de veille sanitaire (InVS) qui conclut que les hommes consomment plus de psychotropes que les femmes. Ainsi, les hommes sont trois fois plus nombreux que les femmes à boire régulièrement de l’alcool et 3,5 fois plus nombreux à fumer du cannabis. Le paternel vient de mourir. La fratrie de huit enfants se retrouve pour un dernier adieu. Très vite, les tensions font exploser le peu d’entente cordiale qui règne au sein de la maisonnée et révèlent les drames enfouis depuis longtemps. En s’intéressant à ces petits riens, ces secrets qui constituent les liens familiaux, le collectif Bajour trouve une matière hautement théâtrale et signe une comédie sociétale satirique des plus délectables. Le jeune homme étonnant Julien Derivaz, qui vérifiait les billets à l’entrée de la salle, investit la scène. Il harangue le public, lui demande si la pièce a commencé. Est-on d’ailleurs vraiment sûr de cela ? Brisant le fameux quatrième mur, il s’amuse des réactions des spectateurs et les entraîne imperceptiblement à plonger dans l’univers foutraque d’une famille tuyau de poêle. L’un après l’autre, les sept autres membres de la fratrie envahissent le plateau. Tous se battent pour profiter de l’unique bassine d’eau qui leur permet de se laver. L’ambiance est tendue. Des années plus tard, tous se retrouvent dans la maison qui les a vus grandir. Leur père est mort. Si trois d’entre eux sont restés à Chollet, les autres ont fui depuis plusieurs années cette ville, leur famille, leurs attachés. Les rapports se sont distendus. Plus étrangers que frères et sœurs, ils retrouvent leurs marques, se rappellent du bon vieux temps. Une ombre cependant plane dans les airs. L’une des sœurs n’est plus là. Personne n’ose vraiment en parler. Pourtant, très vite, le secret de sa disparation obnubile leurs pensées et réveille de douloureux souvenirs. Décortiquant les rapports sociaux au sein d’une fratrie, le collectif Bajour esquisse avec humour et autodérision le portrait satirique d’une société corsetée dans ses principes, ses règles. Issus des bancs de l’école du Théâtre national de Bretagne, les huit utilisent les principes qu’on leur a enseignés pour mieux les détourner et changer la donne du théâtre de demain. Interrogeant le monde qui les entoure, questionnant l’art vivant, à l’instar des autres collectifs nés ces dernières années, tels les Bâtards dorés, le Grand Cerf Bleu, O’so ou le Royal Velours, ils repensent le théâtre de demain. Refusant les artifices technologiques, ils reviennent au tréteau. Riches de leurs expériences, ils déclinent en matière dramaturgique leur regard sur l’actualité, la société et la politique. Sous couverts de conter l’histoire d’une fratrie, nos huit – parlent, avec franc-parler et verbe ciselé, de vie, d’amour fraternel, d’intimité. Ils n’éludent en rien les sujets les plus glauques, les plus noirs et nous entraînent dans une ronde folle où les ressentiments, les inimitiés et les affections se croisent et s’entremêlent joyeusement, intensément. Dans le décor ouaté et chaleureux imaginé par Hector Manuel, comédien épatant, la troupe talentueuse et virtuose s’amuse et livre par bribes le récit collectif d’un drame familial. Orchestrant avec ingéniosité et vivacité, solo, duo ou scène de groupe, Leslie Bernard donne vie à une famille singulière autant que banale. Bravo ! Un homme qui fume c’est plus sain du Collectif Bajour Festival d’Avignon le OFF La manufacture – Patinoire 2bis, rue des écoles 84000 Avignon Jusqu’au 26 juillet 2018 Tous les jours à 11H50, relâche le 12 et 19 juillet 2018 Durée 1h55 transport navette compris Mise en scène de Leslie Bernard Avec Leslie Bernard, Julien Derivaz, Matthias Jacquin, Hector Manuel, Joaquim Pavy, Georges Slowick, Alexandre Virapin, Adèle Zouane Collaboration artistique Matthias Jacquin Création lumière Julia Riggs Création sonore Louis Katorze Scénographie de Hector Manuel Crédit photos © Nicolas Joubard

Lesaphrodisiaques pour homme tirent leur efficacité de leur composition qui renferme des propriétés permettant de stimuler la circulation sanguine, comme les vasodilatateur naturel, permettant ainsi de favoriser le mécanisme de l’érection. De plus certain aliment agissent également sur le mental afin d’accroitre le désir.

Dates du 2021-03-10 au 2021-03-11Contact Téléphone +33 4 67 40 41 39 Email Site web rue de Bologne , Montpellier Information mise à jour le2021-01-18MontpellierThéâtre Conférence - Débat Du 10/03/2021 au 11/03/2021Ne manquez pas la pièce " Un homme qui fume c'est plus sain " les 10 et 11 mars 2021 à 20h par le collectif Bajour au théâtre Jean Vilar ! ►Une réunion de famille. Sept frères et sœurs se retrouvent pour les obsèques de leur père. Ils se sont perdus de vue depuis des années. Il y a les absents qui osent à peine mettre les pieds chez eux parce qu'ils ne savent plus comment être là, ensemble, dans ces lieux pourtant si familiers. Il y a aussi ceux qui sont restés, solides comme des rocs, sur lesquels les autres s'appuient en cas de crise mais qui s'effritent à l'intérieur. Le conflit est sous-jacent, les questions planent, jetant des ombres sur cette rencontre qui devrait être pleine de tendresse familiale. Comment se parler après tant d'années d'absence, comment se souvenir, comment se reconnaitre ? Et surtout, qu'est-ce qui les a séparés pendant tout ce temps ? 1h30
Unhomme qui fume c’est plus sain Mise en scène Leslie Bernard Avec Leslie Bernard , Julien Derivaz , Mathias Jacquin , Hector Manuel , Joaquim Pavy , Georges Slowick , Alexandre
Un homme qui fume c’est plus sain BAJOUR Création collective de BAJOUR Mise en scène Leslie Bernard Pas de textes en amont, mais des thèmes, des références littéraires, théâtrales ou cinématographiques, ont nourri cette création de BAJOUR. D’abord écrite ensemble, à huit, cette pièce jaillit d’un groupe soudé depuis sa sortie de l’École Supérieure d’art dramatique du Théâtre National de Bretagne en 2015. Une réunion de famille. Sept frères et sœurs se retrouvent pour les obsèques du père. Il y a ceux qui ne sont pas revenus chez eux depuis longtemps, et ceux qui sont restés. Le moment de la disparition, des retrouvailles, des souvenirs et de la re-connaisance. Comment se parler après tant d’années d’absence? Comment se souvenir? Comment se reconnaître? Et, surtout, qu’est-ce qui les a séparés pendant tout ce temps? Pour cette création collective forgée à partir des propositions de chacun, improvisations, références Retour à Reims de Didier Eribon, La Misère du monde de Bourdieu, et des textes de Jean-Luc Lagarce…, dans une réécriture au service de l’histoire, BAJOUR place son Homme qui fume c’est plus sain à mi-chemin entre des préoccupations intimes et d’autres plus sociales et politiques. Séparation et conflit au sein de la fratrie, non-dits et secrets, tentatives d’énonciation de la vérité, mais aussi questionnements sur les trajectoires individuelles ou le déterminisme social. Une tragédie familiale, mise en scène par Leslie Bernard, entre réalisme et onirisme. Distribution avec Leslie Bernard, Julien Derivaz, Matthias Jacquin, Hector Manuel, Joaquim Pavy, Lou Rousselet, Sylvère Santin, Georges Slowick, Alexandre Virapin et Adèle Zouane Collaboration artistique - Matthias Jacquin Création lumière - Julia Riggs Scénographie - Hector Manuel Construction du décor et régie générale - François Aupée Production déléguée BAJOUR Coproduction Théâtre National de Bretagne/Rennes Merci de vous présenter au moins 15 mn avant l'horaire indiqué. Les retardataires ne seront pas acceptés en salle. Aucun remboursement ne sera possible. Devenirnon fumeur confortablement. La croyance qui revient souvent chez les fumeurs est que ça va être difficile de devenir non fumeur ! J’accompagne des personnes qui veulent tourner la page du tabac depuis plusieurs années maintenant et la plupart pensent que l’arrêt du tabac va être compliqué. Le problème, c’est que plus on se le dit, plus ça le devient. Un homme qui fume c'est plus sain Sept frères et sœurs se retrouvent réunis pour les obsèques de leur père. Certains se sont perdus de vue depuis longtemps. C'est le moment des retrouvailles, des souvenirs… Mais comment se parler après tant d'années d'absence ? La pièce du Collectif Bajour, Prix des lycéens festival Impatience 2017, prend appui sur plusieurs textes de référence − Retour à Reims de Didier Eribon, La Misère du monde de Bourdieu ou encore des textes de Jean-Luc Lagarce − autant que sur le travail d'improvisation. Dans une scénographie épurée, la troupe de jeunes comédiens donne à voir l'existence d'une famille en prise avec son histoire, les secrets et les non-dits. La pièce tisse une toile de souvenirs, esquissant chaque personnage à la lumière de sa mémoire d'enfant et de sa vie d'adulte. Sur fond de préoccupations intimes, mais aussi sociales et politiques, cette tragédie familiale emporte le spectateur dans un tourbillon de parole joueuse, dans cet art de faire du théâtre de rien, avec excellence. durée 1H30 distribution De Bajour // Mise en scène Leslie Bernard // Collaboration artistique Matthias Jacquin // Scénographie Hector Manuel // Lumières Julia Riggs // Son Louis Katorze // Avec Leslie Bernard, Julien Derivaz, Joachim Pavy, Georges Slowick, Alexandre Virapin, Adèle Zouane, Matthias Jacquin, Hector Manuel la presse en parle Libération - juillet 2018 Les dialogues sont drôles, durs, méchants, écrits pour trancher ce qu'il restait de liens. Le monde décrit est cruel, c'est celui de la génération 1998, déçue par les années 2000. Télérama - juillet 2018 Les lycéens ont primé le collectif BAJOUR lors du dernier festival Impatience, en décembre 2017. Sans doute séduits par la fougue des acteurs formés à l'Ecole du Théâtre National de Bretagne. Car ils affrontent la scène avec appétit, se font confiance, et jouent ensemble… jusqu'à reconstituer une finale de foot au geste près sans tomber dans le grotesque ! nSeJhCf.
  • n1zlw7fg43.pages.dev/583
  • n1zlw7fg43.pages.dev/183
  • n1zlw7fg43.pages.dev/444
  • n1zlw7fg43.pages.dev/91
  • n1zlw7fg43.pages.dev/348
  • n1zlw7fg43.pages.dev/384
  • n1zlw7fg43.pages.dev/308
  • n1zlw7fg43.pages.dev/353
  • un homme qui fume c est plus sain